14/07/2009
Amitié franco-américaine.
En attendant que la girafe fasse le tri dans ses photos de quoi faire patienter les accrocs d'infos ! :-)
Gérôme Villain et Hervé Claudon souhaitent partager ce reportage de France3, publié le lundi 13 juillet 2009. Il commence à 3.00 minutes.
http://jt.france3.fr/regions/popup.php?id=b54a_1920&v...
Cliquez sur lundi 13 juillet 2009
21:21 Publié dans Dossiers spéciaux | Imprimer |
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Bruyères : le ciel s'allume !
18:34 Publié dans Actualités | Imprimer |
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Bruyères : Ficocipa, en avant marche !
" Avec Ficocipa, la marche c'est de 7 à 71 ans. Au départ de Retournemer, ce sont 58 marcheurs qui partent pour gravir par paliers les montées qui les conduiront au toit des Vosges, le Hohneck.
C'est dans la bonne humeur et parmi les fleurs de montagnes (pensées sauvages, digitales, gentiane, renouée, linaigrette...) que la troupe arrive à midi au sommet avant de se restaurer comme il se doit au refuge du Sotré.
Bien repus du repas marquaire , la descente tranquille en admirant les superbes paysages Vosgiens avec une météo trés clémente.
Excellente journée. Merci et à la prochaine. Signé Marc, le guide d'une journée. "
Remerciements à Marc Masson
09:40 Publié dans Actualités | Imprimer |
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13/07/2009
Pas de feux d'artifice pour les chiens !
Du côté de la SPA on s'inquiète d'avance, car voici venu le temps du 14 juillet durant lequel les feux d'artifice ne manqueront pas de « péter » à tout va. Comme chaque année, le standard du Val des oiseaux à Brouvelieures risque bien d'exploser le lendemain pour enregistrement de chiens perdus ou trouvés. Cela, le plus souvent simplement parce que leurs maîtres n'auront pas pris les dispositions qui s'imposent en pareil cas. La SPA indique les mesures à prendre : NE PAS EMMENER LES CHIENS AUX FEUX D'ARTIFICE. LES LAISSER ENFERMÉS À LA MAISON, FENÊTRES ET VOLETS CLOS.
LAISSER UN FOND SONORE (peut importe la fréquence choisie, pourvu que cela masque les bruits extérieurs). SIGNALER TOUTES PERTES DE SON ANIMAL
15:37 Publié dans Animaux et coins de nature | Imprimer |
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France-Amérique : lieutenant aviateur Robert Booth n'est pas oublié
Devoir de mémoire : toute une histoire de mobilisation autour de la disparition du lieutenant aviateur Robert Booth
Lors d’un courriel du 19 mai 2008 illustrant et résumant l’édition annuelle du Memorial Day des Enfants au cimetière américain de Dinozé, Michael Higgins, fils de Marty chef du Bataillon Perdu de Biffontaine, demanda à Gérome Villain et Hervé Claudon, deux vosgiens passionnés d'histoire de ne pas oublier au travers notre devoir de mémoire le lieutenant aviateur Robert Booth. Inhumé dans ce cimetière, l'aviateur est décédé lors de la première mission de largage de containers de subsistances sur le site du Bataillon Perdu pour secourir le 1er Bataillon du 141e Régiment d’infanterie US encerclé par l’ennemi.
Gérôme gerome.villain@wanadoo.fr et Hervé sh-claudon-houx@wanadoo.fr entreprirent sans attendre des recherches sur cet aviateur, et recherché le site où il perdit la vie. Michael Higgins et Gerry L. Humphrey, 2013 NE Avanti Drive, Grain Valley, MO 64029, firent les recherches outre-Atlantique dans les services d’archives militaires américaines. Sachant que l’avion s’était écrasé dans les environs de Fougerolles, les deux jeunes hommes sont dès le mois de mai, entrés en contact avec les mairies du nord du département de la Haute-Saône et du secteur Sud du département des Vosges. Les cinq aviateurs décollèrent de Dôle (Jura). Ces investigations les orientèrent en juin 2008 vers Serge Létang (né en 1920), retraité, président national de la « Fédération Nationale des Anciens Combattants Français et Américains » demeurant 27 rue du Rivage, 88390 Sanchey.
Une boite de rations américaines de type B « 10 in 1 »
Ce monsieur demanda le maximum de renseignements, effectua des recherches dans le secteur par le biais de ses collaborateurs et fit publier un article dans la presse locale. Grâce à un témoin oculaire, il identifia l’endroit du crash du deuxième et dernier accident au cours de ces missions de largage. Il s’agit là du Major Léonard qui parvint à sauter en parachute. Cela, malgré la faible altitude de vol à laquelle il se trouvait. Plusieurs mois plus tard, Marcel Valentin (né en 1924), résidant auVal d’Ajol contacta Serge Létang pour lui communiquer des informations sur l’avion du lieutenant Booth. Monsieur Valentin est maintenant hélas décédé. Serge Létang l’avait fort heureusement rencontré auparavant. Et, ils s'étaient rendus fin 2008 sur les lieux pour localiser l’emplacement du moteur de l’avion. La neige empêchant de se rendre à l’endroit du crash. C’est fin décembre que Serge Létang annonça par téléphone cette grande nouvelle. Marcel Valentin l’a également aiguillé vers Gérard André résidant au Val d’Ajol, fils de Paul qui habitait en 1944 au bas d’Hérival sur cette même commune. Ce dernier fut le premier à se rendre sur les lieux du crash. Comme il était bricoleur, il demanda à l'époque à son fils de collecter les pièces mécaniques qu’il pouvait recueillir sur l’épave. Paul les entreposa dans une boite de rations américaines de type B « 10 in 1 » qu’il lia puis étiqueta. Gérard André remis à Serge cette boite que celui-ci va confier prochainement au musée de la 36e DIUS d’Austin au Texas pour compléter la salle de présentation du Bataillon Perdu de Biffontaine. Par le biais de Marcel Valentin, il entra également en contact téléphonique avec Colette Viry, née Fleurot en 1934 qui se rendit proche des lieux de l’accident pour porter le repas à son père Julien qui bucheronnait avec Paul André. C’est sur le trajet qu’elle découvrit la partie basse de la jambe de l’aviateur. Un article retraçant ces recherches fut publié dans le quotidien local. Hervé et Gérome ont réitéré leurs investigations via les mairies du secteur et ont alors été orientés vers Robert Olivier (né en 1937) retraité résidant le Mottot, 70280 Saint-Bresson. Il effectua des recherches de son côté et sollicita son beau-frère du Val d’Ajol : Noël Grosjean (né en 1938), retraité résidant à Bouchâtel. Quelques jours après l’annonce par Serge Létang de la trouvaille du site, Robert Olivier contacta les deux Vosgiens pour leur annoncer qu’il avait également de son côté retrouvé des personnes (différentes de celles entrées en contact avec Serge Létang) ayant également vu l’épave de l’avion en 1944. Une rapide décision de venue sur le terrain le 27 décembre 2008 s’est organisée, elle ne permit malheureusement pas de rassembler tous les acteurs de cette recherche.
Gérôme et Hervé sont alors allés à Faymont pour une première rencontre avec Robert Olivier accompagné de son beau-frère Noël Grosjean et de Michel Perrin du Val d’Ajol (né en 1932) qui passa son enfance au Dropt sur la commune du Girmont – Val d’Ajol. Ce dernier se rendit à l’époque une seule fois auprès de l’épave depuis son domicile. Il guida ses hôtes sur ses traces empruntées il y a soixante-quatre ans depuis le Dropt. Tous suivirent le chemin de crête qui surplombe la Roche-du-Renard puis ont coupé verticalement pour tenter de localiser le site du crash. Une croissante végétation conjuguée avec une forte déclivité du sol, et les souvenirs lointains du témoin n’ont pas permis de localiser l’endroit précis de l’accident.
Seconde tentative de localisation du site du crash de l’avion P-47 du lieutenant Robert Booth le 27 octobre 1944.
Gérôme Villain et Hervé Claudon ont eu rendez-vous à Pouxeux pour une première rencontre avec Serge Létang. Puis se sont dirigés vers Faymont, hameau de la commune du Val d’Ajol, où ils retrouvèrent un groupe de personnes conviées par Robert Olivier : Jean-Noël Durupt (né en 1951), agriculteur résidant 95 route Chaume, 88340 le Val d’Ajol – Gilles Mathiot, retraité résidant au 140 le Dropt, 88340 le Girmont – Val d’Ajol – Marcel Bresson (né en 1950), correspondant du quotidien local à Saint-Bresson. Noël Grosjean (né en 1938), retraité résidant 23 Bouchâtel Michel Delore (né en 1971), responsable ONF du secteur résidant à la maison forestière du Breuil, le Val d’Ajol. Jean-Marie Manens (né en 1955), maire de la commune du Girmont – Val d’Ajol s’est excusé.
Les habitants de Faymont auraient mangé beaucoup de chocolat
Gilles Mathiot extrait de son fourgon un morceau de dérive d’aile, il s’agit d’un morceau du P-47 de Robert Booth. Des photos sont prises et Gilles remet cet objet symbolique pour l’envoyer au musée d’Austin. Hervé et Gérome le remercient chaleureusement de cet acte fort. Il explique que c’est son oncle Gaston Mathiot qui ramassa ce morceau d’aile peu après l’accident. Et, que l’avion écrêta plusieurs sapins avant de s’écraser sur le coteau ! Jean-Noël Durupt travaillait pour le service des Eaux et forêts dès 1967 et c’est en 1970 - 1971, lors de travaux de martelage autour du chemin de la Veiche (le versant en langage vernaculaire ?), chemin intermédiaire du coteau, qu’il trouva un morceau de métal imposant. Son supérieur qui l’accompagnait, le garde forestier Édouard Henry (aujourd’hui âgé de 92 ans et résidant dans une résidence pour personnes âgées à Montbéliard) lui expliqua qu’il s’agissait d’un morceau d’un avion américain crashé non loin de là qui transportait deux containers de nourriture. Les habitants de Faymont auraient mangé beaucoup de chocolat contenu dans l’un de ces réservoirs. Les forestiers n’auraient à l’époque pas approché l’épave de peur qu’il soit miné, le fuselage était carbonisé. Cette pièce d’avion est restée sur le sol. Serge Létang précisait que cet avion resta environ un an sur place puis fut récupéré par un ferrailleur du secteur d’Epinal. Les goumiers marocains en repos dans la région, hébergés à la gare et à la maison « des trente-six fenêtres », auraient récupéré le poste radio calciné dans le cockpit et consommé quelques denrées, notamment du café. Michel Delore explique aussi que ses prédécesseurs étaient Régis André et M. Loy, ancien technicien du secteur. Jean-Noël Durupt et Gilles Mathiot guidèrent ensuite vers l’endroit supposé de l’accident, mais, une nouvelle fois, la dense végétation et le dénivelé important nuisent à la réussite de cette action malgré l’appui d’un détecteur de métaux.
Plusieurs autres avions sont tombés dans le secteur
Jean-Noël Durupt conduit le groupe au domicile d’Albert Richard, né en 1923, résidant 11 Pcholmey. Les visiteurs sont très bien accueillis par le couple qui offre le café. Albert donne des précisions sur l’endroit du crash tel qu’il s’en souvient. L’avion était selon lui très endommagé. Pour le situer, il conseille de démarrer de la porte de l’ancienne mine de baryte et de fluorine située en bordure du chemin du bas de ce versant et ensuite de monter de biais vers la gauche en direction du chemin de la Veiche pendant 200 à 300 m à proximité du point de lavage du minerai. Ce dernier conseille également de prendre contact avec Marguerite Vincent, née en 1913, qui habite Derrière le Bois au Val d’Ajol. Cette dame possède probablement des informations concernant la première tombe du lieutenant Booth qui aurait, selon les rapports américains retrouvés par Gerry Humphrey, été d’abord inhumé dans ce hameau (cote 110870) avant d’être relevé et transféré au cimetière militaire du Quéquement. Hervé et Gérome apprennent également que plusieurs autres avions sont tombés dans le secteur, notamment un à Outremont sur la commune du Val d’Ajol. André Duchêne du lieu né en 1920 a peut être encore avoir des informations et vraisemblablement le cockpit. Albert Richard explique encore qu’un avion allemand serait tombé Derrière le Bois, ce pilote aurait été rescapé après avoir sauté en parachute. D’autres avions allemands sont encore évoqués… 1er avril 2009, les chercheurs d’outre-Atlantique se mobilisent pour identifier ce morceau d’avion trouvé non loin du lieu du crash. Il s’agit bien d’un morceau de ce P-47. Le 24 juin 2009, Gérôme et son beau-frère Vincent ont rendez-vous avec M. Robert Olivier et son équipe du Val d’Ajol. Ces derniers ont probablement localisé l’endroit exact du crash de l’avion. Gilles, qui a travaillé pour l’ONF il y a quelques décennies, se souvient que l’endroit présumé était noir suite à un fort incendie. Il est encore aujourd’hui peuplé d’arbres plus petits qu’aux alentours. Cet endroit est situé à mi-coteau sur une pente très raide. Une enquête auprès de la population locale est conduite. Une rencontre avec une dame qui habite en contrebas du lieu de l’accident dont le mari (aujourd’hui décédé) récupéra dans les jours qui suivirent la route arrière de l’appareil fut instructive. Il l’utilisa comme roue d’un cultivateur. Samedi 11 juillet 2009, Eliot Archilla, fils d’un des aviateurs de l’unité qui largua sur le Bataillon Perdu de Biffontaine les réservoirs auxiliaires remplis de nécessaire de survie, présent sur les lieux, en remplacement de son père Eilel qui n’a pu venir en France, et se voit remettre symboliquement les morceaux retrouvés de l’appareil. Ceux-ci seront ensuite dirigés vers le musée d’Austin au Texas où deux réservoirs sont déjà mis en exposition.
Remerciements à Hervé Claudon et Gérome Villain qui ont fourni tous les renseignements de cet article et la photo
08:49 Publié dans Juste un peu d'histoire-géo | Imprimer |
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12/07/2009
Bruyères : Musée Henri Mathieu : que la chaleur et la lumière soient !
La saison 2009 est terminée. Cependant, le musée peut être visité sur rendez-vous. Tél. 03.29.50.52.52
Le musée Henri Mathieu, sis depuis 1993 dans l'ancienne synagogue bruyèroise de la rue Jean et Simone Lurçat vient d’inaugurer officiellement sa 10e exposition temporaire. Maître d'oeuvre avec son épouse, le Bruyèrois, Jean Chaumont saluait ceux qui ont permis cette animation. Des prêteurs, Mrs Noël, Cuny, mais aussi d'autres personnes qui ont souhaitées rester anonymes. Les amis de la route de la faïence, Lunéville, Saint-Clément, Moyen, Manières, Rambervillers sont également reconnus pour faire une bonne pub au musée bruyèrois. Sans oublier tous les gens qui donnent bénévolement un coup de main au fonctionnement associatif.
Un plus large éventail pour l'animation polyvalente centrée autour de l'art populaire.
Outils et métiers, mais aussi objets décoratifs issus de près de 500 ans d'histoire des hommes permettent de développer plusieurs thèmes. On remarque les personnages sur la faïence, mais attention souligne Jean Chaumont. " Pas de particularisme. Lunéville, Saint-Clément, Rambervillers... possèdent leurs faïenceries, pas Bruyères. D'où une liberté certaine et pas de partie prenante ! " On cite des pièces fabriquées à Nevers, Rouen, Lyon, Moustier, Saint Omer, Bordeaux, en Franche-Comté...
En parcourant les 11 salles du musée, le visiteur verra la remarquable pharmacie de l'hopital local. Et, ira encore vers " La chaleur et la lumière " , thème principal de 2009.
Fourneaux, plaques, âtres, chenets, crémaillère, soufflets, fourches, louches, ustensiles de cuisine, chaudrons, braisières, bouilloires, bassinoires, braseros, repassages... le panel à découvrir étonne.
Que la lumière soit ! On s'aperçoit que finalement la bonne vieille lampe à huile n'a quasiment pas changé depuis... la préhistoire !
Lurçat, le maître incontesté d’Aubusson
On ne manquera pas non plus, car cela serait dommage de se régaler les yeux de la marqueterie de paille et des belles broderies. L'espace dédié à l'enfant du pays Jean Lurçat, grand maître incontesté de la tapisserie d’Aubusson et celui réservé au judaïsme, à la vie de l'enfant, une ancienne cuisine reconstituée... appellent encore s'arrêter.
Ceux qui ont déjà eu la curiosité de pousser la lourde porte en bois du musée bruyèrois dont les murs de grès rose sont classés historiques en savent toute sa qualité, si besoin en est, sur le livre d'or des témoignages indiquent d'agréables surprises et beaucoup de satisfaction.
Pourtant c'est à s'arracher les cheveux, on entend encore parfois : " Ah, bon ? Il y a un musée à Bruyères ? " Des panneaux notamment placés aux de la Ville vont prochainement le rappeler aux passants. Allez-y faire un tour,soyez curieux ! L'entrée ne coute que 3 euros pour les adultes et franchement cela vaut le coup ! En plus, les hôtes d'Henri Mathieu pourront activer leurs petites cellules grises en tentant de deviner le nom et l'usage d'une quinzaine d'objets insolites. Le concours est ouvert jusqu'en septembre. Cet été, derrière la grande étoile de David voyez le musée Henri-Mathieu, du nom du mécène qui avant de disparaitre offrit ses collections privées " Pour les enfants de demain " disait-il.

Rendez vous pour les groupes. S'adresser en mairie : 03.29.50.52.52
Remerciements à Adeline Thomas qui a conçu les affiches du musée.
19:54 Publié dans A découvrir tout près, sortir... | Imprimer |
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Fays : la caravane immobile fait halte au village
Dans le genre spectacle de rues, on s'attendait à un spectacle extravagant. « La caravane immobile » de la compagnie des Joli(e)s Mômes est totalement déjantée.
Les habitants de cette maison roulante n'arrivent plus à avancer parce qu'ils ont les pieds emmêlés dans leurs histoires de coeur, de fesses et de vaisselle mal rangée. C'est un peu dingue, mais la recette plait aux enfants de tous les âges !
Le spectacle organisé à Fays par la communauté de communes de la Vallée de Vologne a finalement été produit non pas en plein air sur la place Michel Robert mais nuages menaçants obligeait en salle communale.
« La caravane immobile » passe, il en reste un sillon de bonne humeur !
09:31 Publié dans Actualités | Imprimer |
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11/07/2009
Sèche linge à vendre
VENDU
A vendre sèche linge de marque Ariston à évacuation, (sortie droite ou gauche au choix).
Prix en baisse 80 € !
Système anti-froissage, 2 possibilités de séchage froid ou chaud et selon la matière du linge position coton ou synthétique, rotation alternée.
pour plus de renseignements, me contacter : sandrinemaussand@aol.com
18:00 Publié dans Le vide-greniers de la girafe | Imprimer |
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Fiménil : les mariés du samedi
Nicolas et Angélique :
Samedi 11 juillet 2009 à 11 h 45 Nicolas Claudel, gérant d'auto école et Angélique Guery, secrétaire se sont mariés en la mairie de Fiménil.
Le maire, Guy Hinzelin s'est fait une joie d'unir les jeunes gens sympathiquement connus sur tout le secteur de l'Avison. Les nouveaux époux entourés d'une foule de parents et amis se présente là sur la photo avec leur fils Emilien. Félicitations et meilleurs voeux.
Bruyères : la liste des subventions accordées par le conseil municipal
| NOM DES ASSOCIATIONS
| Montants 2009 |
01 | AMICALE DES POMPIERS | - |
02 | ASSOCIATION BRUYERES ATHLETISME | 1320 |
03 | ASSOCIATION BRUYEROISE POUR LA MUSIQUE | 400 |
04 | ASSOCIATION FAMILIALE | 200 |
05 | ASSOCIATION SAINT-VINCENT DE PAUL | - |
06 | BRUYERES NATATION | 1500 |
07 | CHORALE A CŒUR JOIE | 200 |
08 | CLUB DES BON LOHIS | 1250 |
09 | ENFANCE ET FAMILLE D’ADOPTION | - |
10 | CLUB VOSGIEN | 250 |
11 | JUDO CLUB | 500 |
12 | LA CROIX ROUGE FRANCAISE | - |
13 | LA PETANQUE BRUYEROISE | 260 |
14 | LES BALLETS DE L’AVISON | 300 |
15 | LES TOUJOURS JEUNES | 100 |
16 | L’ESPERANCE | 1600 |
17 | SMB FOOTBALL | 3600 |
18 | TENNIS CLUB BRUYEROIS | 230 |
19 | USEP | 200 |
20 | VOLLEY CLUB BRUYEROIS | - |
21 | COS DU PERSONNEL COMMUNAL ET CCAS | 8523 |
22 | CROQ’ ARTS | 250 |
23 | LES PETITS MOMES | - |
24 | BRUYERES TRIATHLON DUATHLON | 100 |
25 | ATHLETIC CLUB DE BRUYERES | - |
26 | SCRABBLE BRUYEROIS | 100 |
27 | ARTS TRADITIONS ARTISANAL (A.T.A) | 200 |
28 | RESTOS DU CŒUR | - |
29 | CERCLE D’ANIMATION BRUYEROIS | 550 |
30 | ASSOCIATION ADMR | 500 |
31 | OFFICE DE TOURISME SYNDICAT D’INITIATIVE | - |
32 | BRUYERES-VIELSALM | 360 |
33 | MUSIQUE MUNICIPALE DE BRUYERES | 900 |
34 | ECOLE DE JEUNES SAPEURS POMPIERS | 400 |
35 | AMICALE DES DONNEURS DE SANG | 100 |
36 | ADPC | 250 |
37 | SM BRUYERES HANDBALL | 150 |
38 | BRUYERES BADMINTON | 100 |
Certaines associations, par exemple le Resto du Coeur ne reçoivent pas d'argent, mais profitent de mises à disposition de locaux et matériels communaux. De son côté, l'office de tourisme change de statut pour entrer dans celui de la communauté de communes de la Vallée de Vologne. Saint-Vincent de Paul qui dispose de fonds n'a pas sollicité de subvention. Par ailleurs, le CAB perçoit une subvention exceptionnelle de 8523 €
11:13 Publié dans Actualités | Imprimer |
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Lépanges sur Vologne : Paul Lejal a fêté nonante ans !
Tous les Lépangeois ou presque connaissent bien Paul Lejal. Né le 19 juin 1919 à Gerbepal, Paul qui demeure maintenant à la maison de retraite de l'Avison fait partie de ces gens que l'on aime bien rencontrer. L'oeil toujours malicieux, et taquin Paul Lejal vient de célébrer ses quatre-vingt-dix ans. Fidèle à sa tradition, le comité d'animation d'aide aux personnes du troisième âge de Lépanges sur Vologne, Prey et Deycimont organisait une petite réception en l'honneur du nouveau nonagénaire.
Pour la circonstance, le maire André Claudel, également président du comité entouré de plusieurs membres de l'association se rendait sur place et souhaitait le meilleur à M. Lejal. Ainé d'une grande fratrie de neuf enfants, Paul fut élevé par ses aïeuls. La guerre venue il fut fait prisonnier, mais sa condition de soutien de famille lui permit d'être mis en congé de situation. Il travaillera comme voiturier à Gérardmer et épousera Julie Claude. Sa vie professionnelle le conduira encore à devenir paysan, mais aussi a prendre un emploi de maçon chez Léon Rivat à Lépanges. Resté sans enfant, Paul Lejal demeure très attaché au village de Lépanges sur Vologne où il a vécu plus de soixante années de son existence. M. Lejal a d'ailleurs offert un don très important pour aider à la réfection de l'église de Lépanges. Cette grosse somme d'argent a permis avec l'aide de subventions de rendre l'édifice tout pimpant. Résidant de la maison de retraite depuis environ 2 ans, M. Lejal occupe une grande partie de son temps libre à lire. Veuf, il est entouré des siens, et n'est pas oublié des habitants de sa commune. Tout le monde espère un bonne contination à ce sympatique nonagénaire. Chacun, dont ses soeurs levait son verre et trinquait à sa bonne santé.
10:48 Publié dans Actualités | Imprimer |
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Bruyères-Vielsalm : des nouvelles rassurantes
Le directeur de la Concordia, Raymond Lemaire a communiqué des nouvelles rassurantes. Gabriel Melchior vient bien d'être rapatrié vers la Belgique. Le musicien blessé à Bruyères après une chute devra rester le plus tranquille possible pendant 5 semaines et sera obligé de porter un corset. A priori, son état n'inspire plus d'inquiétudes trop graves. Tout le monde lui souhaite encore un bon rétablissement. En attendant de retrouver le 21 juillet à Vielsalm à l'occasion du déplacement des Bruyèrois pour la fête nationale belge.
09:51 Publié dans Actualités | Imprimer |
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10/07/2009
Bruyères - Vielsalm : prompts rétablissements
Le 50e anniversaire du jumelage donnait l'occasion de retrouver le bourgmestre Élie Deblire encore en convalescence après un terrible accident de la circulation survenu en septembre dernier. Au nom de tous ses concitoyens, le maire de Bruyères Alain Blangy souhaitait au mayeur belge une totale guérison. Les journées festives des noces d'or entre les deux villes amies étaient cependant assombries par un accident quelques minutes avant le départ des autobus. Le concert venait juste de se terminer lorsque l'un des musiciens fit une chute sur la place Stanislas. On pensait que le pauvre homme allait s'en tirer avec quelques contusions et une bosse à la tête, mais c'était plus grave. Avant de prendre le chemin du retour, Gabriel Melchior fit savoir qu'il se sentait mal. Des pompiers présents, puis l'ambulance du centre de secours bruyèrois prirent en charge le blessé. Son état justifia alors un transport vers l'hôpital d'Epinal. Sur place, les médecins estimèrent que la gravité de l'état du saxophoniste salmien exigeait une évacuation en hélicoptère vers Nancy. Le diagnostic confirma les craintes. M. Melchior présentait une vertèbre fracturée. Des soins appropriés étaient alors immédiatement dispensés. On sait que le directeur de la Concordia, Raymond Lemaire passa plusieurs heures sans sommeil, prenant en temps réel des nouvelles de son musicien. Les Bruyèrois qui pour la plupart n'ont pas eu connaissance immédiatement de cet accident en sont tous totalement désolés. Selon les dernières informations reçues de Vielsalm, le musicien qui n'a pas subi d'opération devrait être rapatrié en ambulance ces jours-ci. Tout le monde souhaite un prompt rétablissement à Gabriel Melchior. Et espèrent le retrouver bientôt entièrement guéri.
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Bruyères : encore quelques photos du cinquantième anniversaire du jumelage
08:51 Publié dans Actualités | Imprimer |
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09/07/2009
Bruyères : décès de Jean-Michel Marx
Le décès de Jean-Michel Marx survenu des suites de maladie le 8 juillet 2009 dans sa 56e année est appris avec une profonde tristesse. Bien connu au pied de l'Avison où il vécut toute sa jeunesse et où son père fut maire, Jean-Michel est le fils de M. et Mme Raymond Marx, anciens commerçants à Bruyères. Marié à Catherine, née Clair, le disparu qui habitait Gérardmer est père de 3 enfants : David, Julien et Sarah. Il est le frère d'Anny Marx et de Brigitte, épouse Cloris. La cérémonie religieuse aura lieu vendredi 10 juillet à 13 h 30 au « carré juif » du cimetière Gérardmer. Ni fleurs, ni plaques. Sincères condoléances.
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Bruyères : les judokas ont rangé les kimonos
La fin de saison sportive du judo-club donnait aux familles et amis des judokas l'occasion d'apprécier des démonstrations de l'art martial, mais aussi de mesurer les progrès réalisés aux entrainements. Passage de grades et récompenses saluaient les plus méritants. Le président Bruno Ferrazzi félicitait les jeunes sportifs et encourageait chacun de persévérer dans une hygiène de vie intégrant respect et camaraderie.
L'adjoint aux sports Philippe Germain, le conseiller général Michel Langloix, le président de la communauté de communes André Claudel et l'ensemble des personnes présentes vendredi 3 juillet 2009 à la salle polyvalente de Bruyères ne pouvaient que se réjouir de constater là beaucoup de sérieux dans le travail d'apprentissage du judo. Des résultats obtenus par l'effort, mais aussi grâce à l'encadrement réalisé par les entraîneurs du club.
06:26 Publié dans Tous les sports | Imprimer |
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08/07/2009
Bruyères : jouez au handball !
"Suite au tournoi de handball qui s'est déroulé le 5 juillet 2009 à Bruyères dans une ambiance bon enfant, le SMBH remercie tous les participants et se félicite de la réussite de cette journée qui a permis à de nombreux amateurs de pratiquer ce sport encore trop peu connu dans la ville.
Félicitations aux vainqueurs : les Toutounes palace !
Le club de handball tient également à remercier la mairie de Bruyères pour le prêt de la salle des sports.
D'autres événements similaires seront prévus au cours des mois prochains.
Pour toutes informations relatives au club de handball de Bruyères : smbhandball@gmail.com "
Remerciements à Thomas Colnel pour l'info et la photo
21:58 Publié dans Tous les sports | Imprimer |
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Lépanges sur Vologne : les aînés à l'honneur
« En renouvelant chaque année, et ce, pour la 63e fois, cette journée d'amitié, le comité d'animation d'aide aux aînés de Lépanges sur Vologne, Prey et Deycimont, fait preuve d'une remarquable fidélité que je suis heureux de souligner ». Le maire André Claudel disait dimanche 5 juillet 2009 tout son plaisir de recevoir le traditionnel rassemblement des aînés autour de tables agréablement et joliment décorées.
Concrétisant ainsi reconnaissance et respect envers ceux qui nous ont précédés dans la vie.
Le conseiller général Michel Langloix, vice-président du conseil général des Vosges, Gérard Lepaul, maire de Deycimont, l'abbé Hubert Grandadam de la paroisse Saint-Antoine en Vologne, René Dickerscheit, trésorier du comité associatif avaient notamment tenu d'être présents. D'autres dont le conseiller régional, Daniel Gremillet et l'abbé André Romary, prêtre de la paroisse, le maire honoraire Jean-Marie Mathieu de Deycimont, retenus par des obligations s'étaient excusés.
André Claudel saluait en particulier les personnes nées en 1939, ainsi que leurs conjoints invités pour la première fois. Une pensée allait vers les 16 aînés qui nous ont quittés au cours de 2008-2009. « Cette journée est tristement marquée par le départ de M. Georges Vincent, décédé à l'âge de 96 ans... » dira André Claudel. L'absence de nombreux « anciens » fatigués ou souffrants était également regrettée. Des retraités du secteur vivent maintenant en maison de retraite. Germaine Bedel, René Boye, Pierre Claudel, Bernadette Ganier, Paul Lejal, Elsa Maddalin, Marcel Petit, Marie Jeanne Petit demeurent à la maison de retraite de l'Avison. Pierrette Bernard, Madeleine Masson, Paulette Turquin sont à la maison de retraite intercommunale de Bruyères. Rose Aubry, Marcelle Humbert, Jeanne Jacquemin, Louis Rivat habitent la MAPAD à Bruyères. Berthe Balland et Hélène Brouiller résident au home du Cameroun à Bruyères. Louis Lejal est pensionnaire de la maison de retraite de Granges sur Vologne. Des remerciements allaient à Michel Langloix donateur du champagne destiné à clôturer le repas, à Daniel Gremillet qui offre le fromage, à Jean-Marie Mathieu et Mme qui font toujours un geste généreux, bien entendu aussi aux communes et à toutes les personnes qui apportent une aide, contribuant ainsi à la réussite de la fête.
Sans oublier l'équipe des bénévoles bien présente dans chacun des trois villages et dont les grandes qualités de coeur se manifestent tout au long de l'année.
Les doyens de l'assemblée étaient salués en particulier.
Lépanges sur Vologne : Gaston Flury, qui fête le 10 juillet 2009 son 98e anniversaire ; son épouse Fernande, 93 ans. Le couple célébrera le 27 avril 2010 ses noces d'albâtre, soit 75 ans de mariage !
Deycimont : Gilbert Gremillet, 94 ans ; Marie Lejal 89 ans.
Prey : Henri Colin, 79 ans
Avant de clore son discours, André Claudel évoquait les services proposés par la communauté de communes de la vallée de Vologne. Télé alarme, portage des repas, repassage, petits travaux d'extérieur...
20:01 Publié dans Actualités | Imprimer |
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Champ le Duc : Emilie et Guillaume se sont mariés
Samedi 27 juin 2009, Guillaume Cunin, 27 ans, ouvrier en charcuterie aux Ets Pierrat et Émilie Lambert, 27 ans, ouvrière en fromagerie aux Ets Marcillat se sont mariés en la mairie de Champ le Duc. Le maire adjoint Yves Burton s'est fait une joie d'officialiser l'union des jeunes gens domiciliés au village.

Entourés d'une foule de parents et amis, Émilie et Guillaume se sont ensuite vers l'église Notre Dame de Champ pour y prononcer le serment nuptial. L'abbé Claude Delorme a reçu le consentement mutuel des nouveaux époux.
Félicitations et meilleurs voeux.
Quelques photos de ce jour de fête :
Bruyères : bravo l'UNSS !
L'assemblée générale UNSS, présidée par Philippe Vonthron, proviseur du lycée Jean-Lurçat s'est déroulée devant 70 élèves. L’association sportive du lycée Jean Lurçat compte 209 membres sur les 453 élèves de l’établissement, soit 46 % de l’effectif. Cela alors qu’au niveau départemental la moyenne se situe 25 % et seulement 17 % au niveau national pour des établissements de même catégorie. Ce fort pourcentage est l'une des clefs de la réussite de l'association, au même titre que l’inlassable travail de fond des membres de l’équipe EPS du lycée bien soutenus par la direction, medames Mommeja, Poirot et Perrin. Des enseignantes qui tout au long de l’année stimulent les élèves pour leur permettre d’aller au bout de leurs possibilités.
Ainsi, ce cru 2009 restera dans les annales du lycée. Puisque l’on peut dénombrer 5 participations aux championnats de France (cross cadets et juniors ; athlétisme hiver et été ; natation), mais aussi le titre de Meilleur lycée lorrain de cross-country ; et enfin une 2e place aux Olympiades départementales et une 5e place lors de la finale régionale.
En détail, le lycée Jean Lurçat c’est :
- 5 titres de district en futsal filles et cadets garçons ; en foot à 7 filles ; en handball juniors ; en basket cadettes
- 4 titres départementaux en judo ; tennis et cross cadets et juniors.
- 5 titres académiques en cross cadet et juniors ; en natation équipe établissement ; en athlétisme indoor et estival en lancers.
- Le titre de vice champion de France par académie en athlétisme estival
On note encore une 13e place en Juniors garçons au championnat de France de cross ; une 27e place en cadets garçons au Championnat de France de cross; une 12e place au Championnatde France d'athlétisme hivernal challenge lancers; une 19e place au Championnat de France de natation ; et une 6e place au Championnat de France excellence d'athlétisme estival en lancers.
Cette assemblée a été l’occasion de remettre des prix à des élèves qui se sont distingués cette année.
- Un prix spécial a été décerné à Anne Cécile Severin élève de Terminale S
- Le prix de la participation a été décerné à Yohann Pontecaille, élève de 1ère S qui a participé à 3 championnats de France (natation ; athlétisme estival et hivernal)
- Le prix du courage a été décerné à Jacques Blary élève de 1re S qui lors du relais des Olympiades des lycées (12x200m) a terminé à cloche-pied les 100 derniers mètres afin que son équipe composée de 40 participants ne soit pas disqualifiée.
Pour tous ces brillants résultats, le proviseur et l’ensemble de l’équipe EPS félicitent tous les élèves qui ont porté haut les couleurs du lycée Jean Lurçat cette année.
16:24 Publié dans Vie scolaire | Imprimer |
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Bruyères : un bon cru du bac pour Jean-Lurçat
Les premiers résultats du bac sont tombés et déjà avec 7 mentions TB il apparaît que l'année scolaire 2008-2009 de Jean Lurçat sera un bon cru. Ambiance, mardi dans l'établissement bruyèrois. Joie pour les uns, suspens pour les autres appelés à un rattrapage oral et grincements de dents pour d'autres recalés.
Ont obtenu la mention " Très bien " : Charline Thierry en section ES ; Charles Chevrot, David Chevrot ( deux frères jumeaux), Louis Hermon, Florian Antoine, Gaetan Grenot, Maïté Vegas tous les 6 en section S.
08:27 Publié dans Vie scolaire | Imprimer |
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07/07/2009
Domfaing : Jérémie est arrivé !
Jérémie Demacon est né le 5 juillet 2009 à 9 h 38 à la maternité de l'Arc en Ciel à Epinal.
Le petit garçon est le fils de Sandrine Sachot aide maternelle à Jean-Rostand à Bruyères et Dominique Demacon, menuisier ébéniste à Cheniménil. Des parents domiciliés au 3 Route de Brouvelieures 88600 à Domfaing.
Les grands-parents maternels sont Jeannine et Georges Sachot qui demeurent à Bruyères et Michel et Olga Duvoid à Fremifontaine. La naissance de Jérémie comble également de joie son arrière grand- mère Maria Gonzales. Félicitations et meilleurs voeux.
Bruyères : les mentions très bien de Jean - Lurçat
Les résultats du bac 2009 sont tombés. Les listes des élèves du lycée Jean Lurçat admis à l'examen sont affichés sur les portes de l'établissement bruyèrois.
Ont obtenu la mention " Très bien " : Charline Thierry en section ES ; Charles Chevrot, David Chevrot ( deux frères jumeaux), Louis Hermon, Florian Antoine, Gaetan Grenot, Maïté Vegas tous les 6 en section S.
Ces résultats sont à vérifier au lycée.
12:44 Publié dans Vie scolaire | Imprimer |
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Bruyères-Vielsalm : c'est de l'or !
Salmiens et Bruyèrois se faisaient une joie de célébrer l'événement en ce jour cinq juillet de l'an deux mille neuf. Oyez, les noces d'or du jumelage entre la ville française de Bruyères en Vosges et celle de Vielsalm en Belgique resteront dans les annales d'une histoire officiellement débutée le cinq juillet mille neuf cent cinquante-neuf ! C'est donc pile-poil cinquante ans après jour pour jour, la ratification du traité d'amitié entre les deux cités par MM Bodson, bourgmestre de Vielsalm, et Drahon, maire de Bruyères que leurs successeurs s'engageaient dignement sur un même chemin. Un tel anniversaire valait bien tout un week-end à festoyer. Ce fut le cas, et l'on peut faire confiance aux amis belges pour ne pas lâcher d'un pouce les réjouissances. La délégation arrivée en bus dès samedi matin ( quelques-uns avaient pris un peu d'avance en débarquant la veille et même avant) était donc fin prête pour se régaler de la musique servie en soirée par l'orchestre alsacien de Mrs Friess pour une fête de la bière musicalement fort réussie. Ceux qui se couchèrent au petit matin eurent probablement besoin de se secouer avant de repartir au petit trot pour cette fois participer à un bel office religieux illustré par les fanfares de la Concordia et de Bruyères. La messe terminée, la foule des grands jours se rassemblait devant l'Hôtel de Ville pour former un défilé haut en couleur, cela notamment grâce à la présence des associations locales et Belges en tenues.
Il s'agissait de rejoindre la place Stanislas.
Sur le kiosque, le renouvellement du serment de jumelage allait être prononcé et signé par le bourgmestre de Vielsalm Élie Debire et le maire de Bruyères Alain Blangy. Le premier magistrat de la cité de l'Avison, saluait l'ensemble de ses hôtes, dont le conseiller général Michel Langloix, la présidente de l'association Vielsalm-Bruyères, Ghislaine Huberty-Raskin, son homologue Gilberte Hilaire, le président de la communauté de communes de Vallée de Vologne, André Claudel, le président de la Concordia, fanfare de Salmchateau, Raymond Lemaire et ses musiciens, le président du comité des fêtes de Vielsalm Armand Cougnet, le président des « Macralles du val de Salm » Christian Charlier, l'ancien bourgmestre de Vielsalm Jacques Gennen et évidement tous les visiteurs Belges. Une pensée particulière et affectueuse allait à Marcel Remacle, grand ami de Bruyères, que personne n'oublie, qui a tant fait pour le jumelage, et dont l'état de santé interdit un déplacement.
« Ce jumelage consacre des similitudes de langue, d'environnement paysager, d'histoire et d'affinités. Son trait d'union fut tiré lors de la fête des myrtilles de 1958, sous l'impulsion du syndicat d'initiative de Bruyères, présidé à l'époque par M. Wachenthaler. Depuis des Salmiens et des Bruyèrois se rencontrent régulièrement, ici ou là-bas en Belgique... » dira Alain Blangy, visiblement heureux de ce rapprochement encore renforcé par la camaraderie développée entre des associations de Bruyères et Vielsalm. Le maire saisissait l'occasion de remercier le Cercle d'animations bruyèrois et les bénévoles qui ont permis la réussite de cet anniversaire. À son tour, Élie Deblire, qui relève d'un terrible accident de la route, et dont on se réjouit de le savoir en meilleure forme, exprimait un sentiment de fraternité, de respect et d'amitié. Ciment de davantage de compréhension et d'amour entre les peuples.
On sait que tout ou presque en France finit autour de la table. On traquait avec l'apéro, puis le déjeuner était partagé avec beaucoup de bonne humeur sous le grand chapiteau.
Des jeux de pétanque et autres sports profitaient encore à l'ambiance. C'est finalement Vielsalm qui remportait la coupe.
Quant à la prestation des deux fanfares regroupées, c'est bien simple, de l'avis général, ce fut un vrai régal !
Ici sur la photo à gauche, Raymond Lemaire.
Déjà, il fallait bien se séparer. Seule la distance éloigne Bruyères de Vielsalm. Mais les habitants des deux cités ont fait depuis longtemps mentir le dicton qui prétend « loin des yeux, loin du coeur ».
Dans le cas présent, les kilomètres ne sont que les maillons d'une chaîne d'amitié en or.
Cet or dont les carats ne se calculent pas, puisqu'ils viennent du coeur.
07:04 Publié dans Actualités | Imprimer |
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06/07/2009
Bruyères-Vielsalm : le texte du serment de jumelage renouvelé
Ville de Bruyères Ville de Vielsalm ( Province du Luxembourg)
SERMENT DE JUMELAGE
En ce cinq juillet deux mille neuf à Bruyères à l’occasion du cinquantième anniversaire du jumelage entre nos deux cités,
Nous Elie Deblire, Bourgmestre de la Ville de Vielsalm (Belgique)
et Alain Blangy, Maire de la Ville de Bruyères (Vosges) France
renouvellent le serment signé le cinq juillet mille neuf cent cinquante-neuf entre
le Docteur Bodson, Bourgmestre de la Ville de Vielsalm (Belgique)
et René Drahon, Maire de la Ville de Bruyères (Vosges) France
Librement désignés par le suffrage de nos concitoyens, Certains de répondre aux aspirations profondes et aux besoins réels de nos populations, Sachant que la civilisation occidentale a trouvé son berceau dans nos anciennes « communes » et que l’esprit de liberté s’est d’abord inscrit dans les franchises qu’elles surent conquérir, Considérant que l’œuvre de l’histoire doit se poursuivre dans un monde élargi, mais que ce monde ne sera vraiment humain que dans la mesure où les hommes vivront libres dans des cités libres,
EN CE JOUR, NOUS PRENONS
L’ENGAGEMENT SOLENNEL
- de maintenir les liens permanents entre les municipalités de nos communes, de favoriser en tous domaines les échanges entre leurs habitants pour développer, par une meilleure compréhension mutuelle, le sentiment vivant de la fraternité européenne,
- de conjuguer nos efforts afin d’aider dans la pleine mesure de nos moyens au succès de cette nécessaire entreprise de paix et de prospérité :
L’UNITE EUROPEENNE
Bruyères, le Cinq Juillet deux mille neuf
Le Maire de Bruyères Le Bourgmestre
de Vielsalm
08:21 Publié dans Actualités | Imprimer |
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Bruyères : l'Espérance tête haute au fédéral de gymnastique
Depuis 1998 l'Espérance participe au fédéral de gymnastique. À Poissy, mais aussi jusqu'à maintenant à Audincourt dans le Doubs (2 fois) à Limoges, à Lille. Cette année, c'est Saint-Étienne qui réunissait 2700 gymnastes (jeunesses et ainées). Pour les Vosges, Eloyes et Bruyères tentaient leur chance. En ce qui concerne Bruyères le challenge entrait en catégorie F3 (présentant des 5es et 4es degrés).
Les gymnastes et leurs accompagnateurs sont partis le vendredi 26 juin à 14 heures 30 sous une pluie battante avec une équipe de 16 jeunesses et 13 ainées. Jacky, le chauffeur de bus, fut à la hauteur de la difficulté routière. Prudent, très sympa et encourageant les gymnastes. Répondant même patiemment aux mille questions des filles. Après 6 h 30 de bus tout ce petit monde arrivait (toujours sous la pluie) à 35 km de Saint-Étienne pour dormir dans une maison familiale. Le samedi concours toute la journée, le soir démonstration de basket acrobatique. Le dimanche, remise des récompenses au stade après avoir effectué le mouvement d'ensemble (1000 ainées, 1700 jeunesses).
Les ainées étaient classées 31es sur 55 et les jeunesses 62es sur 86.
Il fallait alors reprendre la route des Vosges à 18 heures et le bus atteignait Bruyères à 1 heure du matin. Les filles sont toutes d'accord pour dire que c'est une belle expérience (loin des parents), qu'elles sont prêtes à renouveler l'an prochain à Limoges.
L'encadrement exténué, mais ravi du comportement des Bruyèroises qui se sont très bien tenues en compétition, mais aussi à chaque instant de ce voyage. Le tout dans une bonne ambiance.
Remerciements à Monique Colin pour l'info et les photos
07:41 Publié dans Tous les sports | Imprimer |
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05/07/2009
bruyères : Oups ! 2009, pas 2008...
Stéphanie est née le 31 mai 2009 à Epinal et non pas en 2008, comme la girafe étourdie d'AVISON, autrement l'avait annoncé en catégorie " les bébés ". Stéphanie est la fille d'André Allemann et de Béatrice, née Blicquy domiciliés au n ° 4 avenue de Lattre de Tassigny à Bruyères.
L'erreur d'année signalée par un lecteur attentif est corrigée.
Autrey : le duo Levy-Ben Attar enchante
Il fait chaud, le soleil plombe le premier dimanche d'été, l'orage va peut-être apporter l'eau fraîche, qui réveille le grand jardin tout autour de l'Abbaye d'Autrey. Seul un merle claque du bec sur le cerisier chargé de fruits. Le visiteur se laisse porter par l'invitation au concert du duo Levy-Ben Attar convié à se produire en l'église à l'occasion de la fête de la musique. Le public est là assis sur les bancs de l'édifice religieux, subjugué par les notes qui s'élèvent. Plus douce que les gouttes de pluie attendues, la musique apporte la fraîcheur de partitions pas forcément très connues, mais d'une grande beauté. Une suite espagnole empruntée à Joachim Nin ravi. Vieille Castille, Muricienne, Asturienne, Andalouse...
La fougueuse Espagne se fait docile sous les doigts des deux artistes. Viviane Levy au violoncelle moderne s'est produite dans de nombreux festivals. Passionnée de musique ancienne elle partage son savoir à l'école municipale de Ludres qu'elle dirige et où elle enseigne le violoncelle. Six séguidilles pour violoncelle et guitare de Fernando Sor, Cordoba et pièces pour guitare seule d'Isaac Albeniz, précèdent une suite Yiddich de Serge Kaufmann.
Le concert continue avec trois mélodies juives traditionnelles pour violoncelle et guitare d'un anonyme. Les qualités de musicien et de pédagogue de Frédéric Ben Attar l'amènent à siéger au sein de nombreux jurys français ou internationaux. Ben Attar s'est formé auprès des plus grands maîtres de la guitare ou de musique ancienne. Il perpétue leur enseignement au conservatoire de la région de Nancy. Il a notamment été invité à se produire à l'Olympia pour la Nuit de la guitare, et dans de nombreux festivals.
Guitare et violoncelle enchantent l'été, le temps marque une pause, l'un de ces instants qui vous surprennent au détour du soleil couchant. Un peu magique, la musique s'échappe des instruments, sous les doigts de Viviane Lévy et Frédéric Ben Attar, c'est du bonheur. Tonnerre d'applaudissements.
20:48 Publié dans Actualités | Imprimer |
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Laveline devant Bruyères : quel anniversaire !
C'est l'été, les vacances pour pas mal de monde, Cathy a voulu partager ce bon moment de détente.
Certains se sont prêtés au jeu d'autres ont plongé par obligation et quelques petits malins se sont discrètement éloigné de l'endroit fatidique. L'apéro, la bière et le succulent repas ont mis en forme toute l'équipe.
Une très belle journée, partagée avec des convives très sympas et très gais, quelques-uns d'entre eux ont même eu traits chaud aux oreilles!!!.
Merci à Sandrine et Raphaël pour la mise en oeuvre de cette journée mémorable et très réussie. »
Cathy Lemarquis
08:39 Publié dans Actualités | Imprimer |
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Bruyères : le gendarme Vannson part pour la retraite
On le connait discret. La modestie naturelle du gendarme Serge Vannson très donc certainement souffert en entendant le lieutenant Dominique Lallemand, faire éloge de sa carrière professionnelle. Le pot de l'amitié offert par Serge Vannson à l'occasion de son départ vers la retraite était donc l'occasion pour le commandant de brigade Lallemand d'évoquer le parcours du gendarme Vannson. « Serge est né le 26 juillet 1953 à Cornimont dans ce contrefort des Vosges qu'il affectionne tout particulièrement. Il suit une scolarité normale qui le voit récompenser du certificat d'études et d'un diplôme de fin d'études. À 16 ans, diplôme en poche, il ne perd pas de temps et entre aussitôt dans la vie active. Pendant 4 années il travaille dans le tissage, principale industrie florissante pour les Vosges à l'époque. En 1973, Serge a 20 ans, et arrive l'heure du service militaire. À cette occasion, il découvre alors la Gendarmerie puisqu'il rejoint le Centre d'instruction des Gendarmes auxiliaires à Auxerre. Il fera au sein de ce centre 4 mois de classe puis recevra une affectation de huit mois au sein de la compagnie de Beaune. En juin 1974 il rejoint l'école de sous officier de Châtellerault. À cette époque la formation ne dure que quatre mois. Il en sort gendarme le 1er novembre 1974. Sa première affectation va le conduire à l'escadron de gendarmerie de Belfort. Il y restera 8 ans. Il connaitre alors diverses expériences. La préparation motocycliste jusqu'à la dissolution des brigades routières de la gendarmerie mobile, les B.R.G.M. Trois détachements hivernaux de secours au ballon d'Alsace donnant qualification de breveté de montagne. 5 années au PSS de Luxeuil les Bains sur la base aérienne de Bourogne Fougerais du fait de son habilitation au contrôle gouvernemental de l'armement. En 1980, Serge Vannson unit sa destinée à celle de Mauricette, une jeune femme originaire de la Bresse. En 1982, le jeune couple devient parent d'un fils unique : Mickaël. Toujours en 1982, le gendarme Vannson change de subdivision d'Armes et rejoint la gendarmerie départementale. Sa spécialité montagne lui permet d'intégrer une brigade de moyenne montagne, à Dabot (57). Il y servira pendant quatre ans. En 1986, le gendarme Vannson connaît des soucis de santé qui perturbe sa disponibilité de service. Une mutation est pressentie pour Sarreguemines, ce sera finalement Bruyères qu'il ne quittera plus. C'est donc 23 ans de service qu'il a accompli au profit de ce canton. » Le lieutenant mesurait encore tout ce chemin parcouru. « Les 23 années passées à Bruyères auront fait du gendarme Vannson la mémoire vivante de ses camarades. Elles lui auront permis de créer des liens, d'apprendre à connaître une multitude de personnes, connaissant leur famille, les liens de parenté, les histoires familiales, et bien d'autres choses encore. » Dominique Lallemand définissait encore Serge Vannson comme un homme calme, aimait la lecture. « Il a su être à l'écoute des gens, prendre en compte leurs problèmes et leurs attentes. Fortement expérimenté, il a toujours su agir au mieux de l'intérêt de la population tout en respectant l'éthique du gendarme et le sens du service public. Il aura connu 8 commandants de brigade, de camarades gradés et gendarmes. Il aura connu aussi bon nombre de bouleversements de notre univers professionnel. Son comportement exemplaire tout au long de ses années lui a valu à plusieurs reprises la reconnaissance de ses chefs, notamment par l'attribution de nombreuses lettres de félicitations dont celle du groupement de Nanterre qui lui tient le plus à coeur. Il quitte le service actif décoré de la médaille d'or de la Défense nationale. » Dira encore le Lieutenant Lallemand.
À présent, officiellement à la retraite de la Gendamerie le 26 juillet 2009, Serge Vannson s'apprête à rejoindre son village natal de Cornimont où depuis de nombreux mois il prépare un petit nid douillet. Serge Vannson pourra désormais se consacrer entièrement à sa famille, sa maison, et ses passions, notamment motos et vieilles voitures.
L'ensemble des personnels de la brigade bruyèroise et leurs familles, nombreux à être venus témoigner leur affection à l'occasion de cette petite réception que Serge et Mauricette avaient voulue conviviale « sans chichi, ni tralala » souhaitent bien sûr un bon vent au couple.
Leurs amis, nombreux à Bruyères espèrent également à Serge et Mauricette une vie heureuse. Belle et bonne retraite.
07:47 Publié dans Gendarmerie, Police, Armée, pompiers, Médaillés-Mi | Imprimer |
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