La Girafe, Avison-Autrement

M. Bernard Valence est décédé à l'âge de 79 ans. Ses obsèques religieuses seront célébrées samedi 17 décembre 2011 à 14 h en l'église des Rouges-Eaux. Suivies de l'inhumation au cimetière des Rouges-Eaux. La famille remercie par avance toutes les personnes qui prendront part à sa peine. M. Valence repose au funérarium Lapoirie, 14 rue de l'hôpital à Bruyères. Sincères condoléances à ses proches. 

La triste nouvelle de décès d'Adrien Baly, survenu à l'âge de 22 ans des suites d'un terrible accident de la circulation survenu voici plusieurs mois vient d'être apprise. Ses obsèques religieuses seront célébrées samedi 17 décembre 2011 à 10 h en l'église de Mortagne. L'office sera suivi de la crémation. La famille remercie par avance toutes les personnes qui prendront part à sa peine et demande de ne pas apporter de plaques. Adrien repose au funérarium Lapoirie, 14 rue de l'hôpital à Bruyères. Sincères condoléances à ses proches.

La nuit tombant tôt en hiver, des travaux concernant une amélioration de l'éclairage public sur la rue de la Creuse seront tout particulièrement appréciés. L'ensemble réalisé par l'entreprise RSL (réseau souterrain lorrain plus) une entreprise vosgienne installée aux Forges coûte à la commune 89 255, 73€ HT.  Des subventions de l'Etat et du Département pour un total de 13 400€ viennent alléger la facture.

Le maire René L'Homme, s'est félicité de la qualité du travail de RSL. 

Le bilan fourni par la mairie de Bruyères pour le Téléthon 2011 est le suivant :

Amicale de l'hôpital distribution de petits-déjeuners, dont 120 au Club-Vosgien : 819 € ; concert en l'église paroissiale : 545 € ; Pétanque Bruyèroise : 100 € ; Amicale des pompiers : 100 € ; SMB : 100 € ; Handball : 116,78 € ; JSP + Natation : 131 € ; CAB, choucroute : 150 € ; Toujours-jeunes : 113 € ; Amicale des donneurs de sang : 90 € + cadeau d'une bouteille hellium ; Natation, vente de crêpes : 42,40 €; Croix-Rouge : 800 € ; dons : 60 € ; vente d'affiches cinéma : 10 €. Le total est de 3177,58 € - 30 € d'assurance payée par les JPS.

 La somme totale remise au profit du Téléthon est donc de 3147,58 €

Voilà un joli exemple de décorations de Noël réalisées rue Abel Ferry ( en face du Boeuf Blanc ) par Serge de Freitas à Bruyères. Nul doute que le Père Noël s'y attardera un moment ! En tous les cas, voilà un exemple sympa de déco de vitrine qui égaye la rue.

D'autres vidéos sont visibles sur Youtube, cliquez sur le lien déposé par Serge en haut de la vidéo.

Mercredi 7 décembre, les jeunes sportifs locaux sont sortis sur les Championnats d’académie afin d'y représenter le lycée Lurçat en cross country ainsi qu’en judo. Ainsi, c’est à La Madine, sous une pluie diluvienne et dans la boue sur tout le long du parcours que Claire Schwartzwalder en cadette, réussi à obtenir une 17e place (sur 197 inscrits). Cela, sur un parcours très technique que les conditions météo avaient rendu particulièrement physique. Aymeric Morel lui réalisait peu de temps après sur un parcours plus long, une très belle 36e place sur 200 partants. Félicitations pour ce déplacement réussi.

À Épinal pendant ce temps, Odille Dylan en cadet combattait en judo pour décrocher sa place au Championnat de France. Défi relevé, mais réussi puisqu’il bat sans contestation possible par ippon un représentant du pôle espoir de Metz favori de la compétition.

Clin d'objectif à un ami d'Amnesty international 

Une nouvelle fois, les amis des bêtes ne se sont pas fait tirer l'oreille pour rendre visite la SVPA à Brouvelieures qui ouvrait ses portes durant tout ce dernier week-end à l'occasion du Noël des animaux. Certains visiteurs sont arrivés les bras chargés de croquettes, couvertures, produits ménagers et autres articles utiles à la vie du refuge.  

Chacun participant à sa façon, en offrant un don, en achetant sur la brocante... Ou même tout simplement, en prenant un café, en mangeant une gaufre bien chaude dont le bénéfice de la vente va tout droit dans la cagnotte destinée à améliorer la vie des pensionnaires du site. Samedi, deux coups de coeur se sont concrétisés par des adoptions de toutous.

D'autres viendront peut-être plus tard. Chiens et chats peuvent paraît il entrer en contact avec le Père-Noël. Certains qui ont déjà vécu de tristes expériences voudraient que dans le monde cessent les abandons, et la cruauté. On peut le lire dans leurs yeux, tous aimeraient entrer pour toujours dans une famille à aimer... Ouaf ! 

Sur le grand livre d'or du musée Georges-Braque- Métamorphoses de Saint-Dié-des-Vosges, la dédicace du ministre de la Culture, Frédéric Mitterrand, de passage à l'occasion du FIG, exprime admiration et gratitude.

Georges-Braque, ici sur une photo, empruntée sur le Net, un artiste, un homme simple et gentil que la guerre marqua profondément.

Enchantement. Comment ne pas l'être en découvrant dans l'écrin protégé de la Tour de la Liberté la remarquable collection, réalisée par le maître lapidaire, le baron, Heger de Loewenfeld, seul autorisé par Georges Braque a reproduire son travail artistique sous différentes formes, dont des bijoux qui forcent chaque jour davantage d'émerveillement.

Conservateur du Musée Georges Braque-Métamorphoses, à titre bénévole, Armand Israël ne pouvait trouver collaboratrice plus précieuse que Michèle Lemaître, officiellement désignée Conservateur du Musée Georges-Braque-Métamorphoses. Parler de Georges Braque avec Michèle Lemaître, également bénévole, c'est ouvrir un grand livre en trois D, pour y aborder les périodes du « Patron ». Et, au travers ses différentes périodes artistiques, de rendre à Braque, ce qui appartient à Braque.

Discret, l'homme dispose de talents éclectiques. Impressionniste, peintre, graveur, sculpteur, il s'adonne avec bonheur au collage... Il passera d'un fauvisme pur, au cubisme. Expression picturale, dont on s'accorde aujourd'hui à enfin admettre qu'il en fut à l'origine. Le cubisme, c'est d'abord Georges-Braque ! Il ira ensuite vers une époque thématique. Métamorphoses sera l'aboutissement de son exceptionnelle carrière d'artiste. Métamorphoses, dont aujourd'hui grâce au don d'Heger de Loewenfeld, la Ville de Saint-Dié-des-Vosges possède une jolie partie.   

                                         Le regard d'une admiratrice, passionnée de Georges Braque

Du bonheur, rien que du bonheur, pour Michèle Lemaître, antiquaire à la retraite, devenue conservatrice. Pour l'amour de l'art. Lorsqu'elle évoque le maître qu'elle eut la chance d'approcher alors qu'elle n'était qu'une gamine haute comme trois pommes à Varangéville sur Mer, c'est de l'attachement sincère, de la passion.

Georges Braque apprivoisa l'espace en déposant sur la toile le jeu des couleurs, dompté, sans heurts, à pinceau sûr, inquisiteur, mais paisible. Braque, l'homme modeste n'avait que faire des mondanités. Sa vie rayonnait dans son atelier. Un local que connaissait parfaitement Michèle Lemaître. La fillette qui lorgnait les oeuvres du maître a grandi. Le peintre admiré a peint de façon lumineuse et indélébile le ciel de son coeur. Braque c'est son génie, sa bataille. L'enthousiasme, et l'engagement de Michèle ne faiblissent pas d'un iota.

L'artiste né le 13 mai 1882 à Argenteuil s'est éteint en 1963. Braque peut reposer tranquille dans le petit cimetière de Varengeville-sur-Mer. Son ayant droit, Armand Israël, Michèle Lemaitre, la Ville de Saint-Dié-des-Vosges, ses amis veillent sur ses oeuvres comme sur la prunelle de leurs yeux.

Fatiha Bendahan, guide émérite du musée

À côtoyer son amie, conservatrice, Fatiha Bendahan, diplômée des métiers du livre et guide du Musée Georges Braque-Métamorphoses, a fini par attraper le « virus » Braque. Fatiha s'est plongée dans la mythologie grecque, source d'inspiration de Braque dans ses Métamorphoses. Au dernier étage de la Tour de la Liberté, les présentations rutilent.

Quelqu'uns des bijoux à offrir ou à s'offrir !

Il est désormais possible de faire acquisitions de nouvelles pièces dérivées de l'oeuvre. Trente-quatre bijoux or et vermeil, tous portent en eux une part de l'âme du « patron », Braque.

Horaires d'hiver : du mardi au vendredi de 14 h à 18 h ; vacances de Noël et février, du mardi au dimanche inclus de 14 h à 18 h. Tour de la Liberté à Saint-Dié-des-Vosges. Musée Georges Braque-Métamorphose, tél. 03.29.55.45.04   

Les résidents de la maison de retraite de Foucharupt avaient promis bien un joli petit marché de Noël. Tous les visiteurs qui franchirent samedi la porte de l'établissement déodatien n'ont pas été pas déçus. Avec la bénédiction de la direction, l'aide des animatrices, Annick et Carole, du personnel toujours au petit soins pour faire plaisir aux pensionnaires et notamment des bénévoles de l'équipe des VMEH (Visiteurs de malade en établissements hospitaliers), les aînés exposaient leurs réalisations. Le résultat en était bluffant.

Très vite, les décorations festives, les objets en bois fabriqué par les messieurs, à l'intérieur de l'atelier menuiserie, les doudous, porte-bougies, nichoir à oiseaux... trouvaient preneurs.

Un sapin de Noël, une douce ambiance amicale, cela ne fait aucun doute, le marché de Noël des papis et mamies de Foucharupt avait tout d'un grand ! 

Père Noël avait également trouvé place !

Temporis à Golbey recherche pour des missions en intérim des soudeurs, chaudronniers, serruriers, mécaniciens industriel ou électromécaniciens. Temporis recherche également des plaquistes, des peintres, des maçons expérimentés, ainsi que des électriciens et des plombiers chauffagistes.

Contactez Temporis au 03 29 29 41 34 ou inscrivez-vous sur www.temporis.fr

Après en mai de cette année, son livre intitulé aux Éditions Prospero « Pour une social-démocratie décomplexée », Christian Pierret, dont la candidature à l'investiture du PS, pour une représentation aux présidentielles, n'a pas été avalisée par ses pairs, frileux à bousculer leur calendrier maison, a repris la plume pour réactualiser l'ouvrage.

Dans la série Acteurs de la société, du même éditeur, « France 2012, refusons le déclin » vient donc de paraître (12,50 €) en librairie. Le titre donne le ton, le propos est politique. Le lecteur y puisera matière à réflexion sur un choix de société à définir par le vote de 2012. Pour une victoire de son parti, Christian Pierret n'y va pas par quatre chemins. « Cela suppose que le PS réalise, enfin, sa mue sociale-démocrate. C'est le dernier essai. Après 2012, si la gauche échoue, il n'y aura pas de 2017, il y aura la déshérence de la politique. Le constat peut paraître sévère. Pourtant, c'est de cette lucidité que partira le redressement de la France. » Le maire de Saint-Dié-des-Vosges coiffait dimanche matin sa casquette d'écrivain pour rencontrer son public à la Maison de la Presse de la rue Thiers de sa ville. On ne sait pas si Père-Noël a lu le livre de Christian Pierret, ni si cela est le cas, ce qu'il en pense, mais de dédicace en dédicace, visiblement, il en transportera des exemplaires dans sa hotte !

Blog de l'auteur :  http://www.christianpierret.net/

Bien au chaud, dans le grand hall lumineux du rez-de-chaussée de la salle des fêtes prêtée aux fourmis de l'ATA ( Arts-Traditions-Artisanat) par la Ville, une bonne quarantaine d'exposants présentent le fruit de leurs talents.

"Mon papa, il fait des bijoux, trop beaux ! !"

Des broderies, des bijoux, des poupées, des décorations de Noël, des peintures, des livres, du miel, des gâteaux, le travail du bois ou celui de maîtres verriers... l'ensemble est particulièrement réussi et ne manque surtout pas d'intérêt.

Un travail d'un maitre verrier, meilleur ouvrier de France.

Des doudous craquants ! 

 Ainsi, durant tout ce week-end les visiteurs trouveront forcément de quoi s'émerveiller de tant de savoir-faire. Le tout avec la possibilité de rencontrer...le Père Noël venu remplir sa hotte en prévision des cadeaux de fin d'année.

Sgloup et miam !

Bonne humeur ambiante !

Le saint patron de Lorraine ne quitte jamais les Vosges, sans rencontrer les écoliers du village. L'évêque de Myre s'est réjoui de visiter la toute nouvelle école maternelle et CP. Mais, surtout de constater et d'entendre le maire, Françoise Blanc confirmer qu'à Champ le Duc, tous les enfants sont sages et studieux ou vont le devenir sans attendre !

Distribution de friandises et bisous pour tous. Père Fouettard n'a rien eu à faire ! 

On le sait, les petites filles viennent au monde dans une rose. Lina a vu le jour le 25 novembre 2011 à 22 h 16 dans le grand jardin de la maternité de la clinique l'Arc en ciel à Épinal. 

Cet adorable bébé pesait 3,210 kg pour 51 cm. Lina est le premier enfant d'Aude Colin et de Frank L'Huillier, domiciliés au 20 chemin de la corvée à Biffontaine. La naissance de Lina comble de bonheur ses parents, sa famille et ses déjà nombreux amis. Tous ont craqué pour adorable sourire, déjà malicieux. Félicitations et meilleurs voeux à Lina et les siens.

M. Georges Colot est décédé à l'âge de 57 ans. Ses obsèques religieuses seront célébrées samedi 10 décembre à 14 h 30 en l'église de Grandvillers. Suivies de l'inhumation au cimetière de Grandvillers. Par avance la famille remercie toutes les personnes qui s'associeront à sa peine. M. Colot, repose au funérarium Lapoirie 14 rue de l'hôpital à Bruyères. Sincères condoléances à ses proches.  

Le saint patron de Lorraine n'a pas failli à sa réputation d'hôte privilégié de la ville. À la crèche, à la maternelle et du côté de l'école Jean Rostand, à l'institution Jeanne-d'Arc, au home du Cameroun, au centre-ville lors du grand défilé de la Saint-Nicolas, à l'hôpital de l'Avison, l'évêque de Myre a distribué de l'émotion, des friandises et des bisous.

 Cliquez dans l'angle qui se soulève de l'album, et retrouvez les photos en diaporama dans la colonne de droite.  

Pas de chance pour Père Fouettard, au pied de l'Avison les enfants de les ages sont adorables ! Saint-Nicolas est attendu à la Maison de retraite intercommunale, vendredi 9 décembre. Après cela, il disparaitra, comme par enchantement. La légende est vivante !   

Ce jeudi 8 décembre, une série d'intervention mobilisait gendarmes et pompiers. Dans la matinée, le centre de secours était sollicité par deux fois depuis l'avenue de Lattre à Bruyères pour venir en aide à une maman prête à accoucher. 

Plus tard, en début d'après-midi, les pompiers étaient appelés à intervenir au lycée Jeanne-d'Arc où une personne était victime d'un malaise.

Vers 15 h, un accident se produisait au lieu dit du Coq de Bruyères où deux voitures entraient en collision frontale. Les automobilistes, seuls à bord, un Géromois et une Bruyèroise étaient transportés à l'hôpital de Saint-Dié-des-Vosges. A priori, leurs états n'inspiraient pas d'inquiétudes vitales.

Aux alentours de 16 h 30, rue Poincaré, à quelques pas du Centre de secours et de la gendarmerie , une Bruyèroise, perdait le contrôle de son véhicule qui finissait alors au fossé. Seule en cause, la conductrice ne paraissait pas grièvement blessée, mais était tout de même transportée en milieu hospitalier.

En cours d'après-midi, les gendarmes de la brigade bruyèroise se déplaçaient à Padoux où les pompiers de ce secteur éteignaient un feu de voiture.  

Parmi les bonnes surprises de ce mois de décembre, on retiendra un show room exceptionnel donné à la Tour de la Liberté autour des toutes dernières créations de l'artiste Mika. Autodidacte, ce peintre né dans le Nord, a longtemps vécu dans les Vosges. Il ne l'a pas oublié.

Le maire de Saint-Dié-des-Vosges, Christian Pierret et son adjointe, Madeleine Fève-Chobaut ont découvert officiellement l'exposition de Mika.

Un attachement sincère et réciproque avec à la capitale des villes de montagne, Saint-Dié-des-Vosges permet des retrouvailles hautes en couleurs. Chacun y trouve son compte de lumières, et de soleil.

Mika conjugue amour et tolérance sur une palette éclatante. Ainsi, durant tout un week-end, le public était invité à profiter d'un grand rayon de soleil. Sans modération, à plein rêve !

Mika, on aime EpicéTou... !  

On s'en pourlèche les babines, on en raffole, une bonne choucroute en hiver, voilà qui fait autant plaisir aux papilles qu'aux estomacs du Vosgien affamé. 

Les cuisinières s'étaient dévouées gentiment pour faire plaisir.

Mercredi 7 décembre, le traditionnel repas choucroute des Bons Lo'his réunissait plus de 80 convives regroupés autour de la table dressée au restaurant scolaire de la Loge. Surprise, Saint-Nicolas avait laissé un personnage en pain d'épices sur chaque assiette !

Et, c'était l'anniversaire « du» Claude ! Ici en pull bleu, chemise blanche, 82 ans ! Bon pied, bon oeil. Claude a promis de se mettre à l'informatique ! Enfin, il y pense... 

Pierrette Pierson, présidente associative accueillait chacun et tous avaient une pensée pour les disparus et pour ceux qui n'avaient pu se déplacer. Michèle Peltier, adjointe au maire, partageait le repas avec plaisir et exprimait son contentement de voir nos aînés en si bonne forme.

L'apéro pris dans la bonne humeur, les grands plats du superbe plat de saison étaient vite laminés. Voilà qui fait plaisir, nos aînés ont bel appétit ! L'occasion pour tous de se souhaiter une bonne fin d'année !

L'association loisirs et culture, les CCAS des communes de Bois de Champ, les Rouges Eaux organisaient un voyage au Palace Royal de Kirviller.

Cliquez dans l'angle qui se soulève de l'album et retrouvez ensuite l'album en diaporama colonne de droite

Dans un décor de strass et paillette, un goûter animé, les enfants ont admiré un spectacle d'équilibre, voltige, jonglage, numéro d'illusion présenté par Monsieur Brindille, avec beaucoup d'humour. Tous sont revenus avec des étoiles plein les yeux.

Hier soir, mercredi 7 décembre, vers 18 h 30, un feu de cheminée a bien failli mal tourner. Fort heureusement, l'intervention rapide de pompiers locaux et du secteur chez leur collègue, Dominique Didierlaurent a permis d'éviter le pire. Incommodés par la fumée, provoquée par les conduits cassés à cause de l'incendie, les enfants présents au moment des faits ont été transportés à l'hôpital pour y subir des examens médicaux. A priori, personne n'a été sérieusement atteint, puisqu'ils pouvaient ressortir en soirée. L'habitation était alors rendue difficilement habitable. Selon des témoins, le maire du village, Dominique Poirot, ne serait pas intervenu favorablement pour reloger les sinistrés. Plusieurs personnes se sont dites révoltées par cette situation. C'est finalement le chef de corps de Laveline-devant-Bruyères, Jean-Luc Houvion qui proposait l'hospitalité pour la nuit à cette famille lavelinoise dans la détresse. À suivre.  

C'est sur son beau char tout illuminé que le saint patron de Lorraine est arrivé dans la cité de l'Avison.

Au départ de la rue Louis Marin, la parade s'est dirigée vers la place Stanislas, où le maire Alain Blangy  remettait les clefs de la ville à Saint-Nicolas. 

Un char amusant qui fait des bulles, des bulles, des bulles...

Pas de musique municipale cette fois pour accompagner l'évêque de Myre, mais les Jeunes Sapeurs Pompiers et le CAB avaient fait de beaux efforts pour se présenter à la hauteur de l'événement avec leurs chars.

La fourmi du CAB

Une distribution de friandise attendait ensuite les petits Bruyèrois à la salle des fêtes. Seul, Père Fouettard boudait, et pour cause, ici pas de galopins, tous les écoliers sont appliqués et très sages !

Les écoliers l'attendaient le coeur battant. Saint-Nicolas est venu à leur rencontre. Une jolie parade dans le village, puis une distribution de douceurs à la salle des fêtes du village ravissaient les enfants. Le maire du village, Christian Savage, allait à la rencontre du saint patron de Lorraine et lui assurait qu'à Brouvelieures, nul besoin de Père-Fouttard. Tous les gamins sont sages comme de véritables images !

Le char du vilain boucher

Saint Nicolas, Père Fouttard et les...rennes !

Lampions et bois de renne ! 

Un vent frisquet balaye la place du marché. À deux pas, près des sapins blanchis, un ensemble de petits chalets forme un village, éclairé de lumières douces... Cela sent bon les épices, le vin, les churos et le jus de pomme chauds. Effluves de caramel, c'est la barbe à papa qui vient titiller les narines du passant. Curiosité ? Gourmandise ? Autant, l'avouer, ce sont carrément les deux à la fois. On craque volontier.

Assez de la grisaille. Dès l'entrée sur le marché de Noël déodatien, on se laisse aller au rêve festif. Les gosses sont ravis de coiffer d'improbables bonnets rouges clignotants, de bois de rennes (si, si cela existe !). Vingt-six exposants proposent de jolis produits. Là, du miel doré, un peu plus loin les Jardins de Prométhée vendent leurs beaux légumes. Sur d'autres endroits, ce sont des bougies, de l'excellent breuvage issu des vignes alsaciennes, des liqueurs étonnantes, des sirops... Sur un étal dédié à l'Afrique, l'artisanat et le nectar de baobab interpellent.

Une envie de pain d'épices ? Une idée-cadeau ? Comme il est presque certain qu'au fil de son tour des marchés de Noël, l'homme à la barbe blanche et au long manteau rouge se ravitaille en partie ici, le choix ne manque pas. Tiens de la musique. De petits spectacles gratuits apportent leurs parts d'animation et de joie. 

C'est l'occasion de rencontrer du monde, on échange la conversion. Les patineurs s'élancent sur la piste de glace toute proche. Quelques flocons ? Normal, c'est bientôt Noël !

Marché de Noël :

Du vendredi 9 au dimanche 11 décembre
Du vendredi 16 au samedi 24 décembre
Place du marché à Saint-Dié-des-Vosges (à deux pas de la rue Thiers)
En semaine : de 14 h à 19 h  et le week-end : de 10 h à 19 h.
Fermeture samedi 24 décembre à 15 h. 

Des concerts seront donnés aux jours et horaires suivants :

Samedi 10 de 15 h à 16 h : l’Ensemble «Tziganisky» (4 musiciens tziganes), musiques d’Europe centrale et folklore russe.

Samedi 10 de 16 h à 16 h 45 : la chorale «Denichœur» de Denipaire, chansons de Noël et de variétés françaises.

Dimanche 11 de 15 h à 15 h30 et de 16 h à 16 h 30 : «Jazz de Noël» par l’ensemble «Patrick Mischler Quintet Jazz».

Saint-Dié sur Glace : du samedi 3 au samedi 31 décembre.
Mercredi 21 décembre de 15 h à 15 h 30 et vendredi 23 décembre de 15 h à 16 h, démonstrations de patinage artistique par la jeune Thaïs Abel, 12 ans et en formation à l’Ecole de patinage de Courchevel.

Pour son avant dernier match de la phase aller du championnat départemental, le Stade Municipal Bruyères Handball recevait l'équipe de Saint-Dié. Ce match était plus qu'important, car le premier (SMBH) jouait le second (Saint-Dié). L'entame du match ne fut pas bonne pour les jeunes joueurs bruyèrois puisqu'ils concédèrent un 5-2. Le score resta aussi serré jusqu' à 3 minutes de la première mi-temps ou les locaux eurent un trou et encaissèrent un 3-0. Le score à la mi-temps : 8-14.
Le SMBH ne s'est pas pour autant avoué vaincu malgré les nombreuses provocations et grosses fautes de l'équipe adverse, averti notamment par un carton rouge pour deux tirs consécutifs dans le visage du gardien Thomas Étienne.

La pression montant au fur et à mesure que le chrono avançait. Le SMBH gagna la deuxième mi-temps, mais pas suffisamment pour remporter le match : 21-25. Cette défaite, la première de la saison, fait reculer le club à la deuxième place du championnat des Vosges avec le même nombre de points, mais une différence de but plus faible que le club d'Hadol.
Pour son dernier match de la phase aller, les bruyèrois se déplaceront à Rupt Sur Moselle le dimanche 11 décembre puis ils iront jouer à Épinal en coupe des Vosges le 17 décembre à 18 h à la salle Viviani.
Exceptionnellement, l'entrée était payante samedi, 120 € ont été récoltés pour le Téléthon. Le club remercie tous les spectateurs (qui est de plus en plus nombreux, une soixantaine samedi !) pour l'ambiance et le geste au Téléthon.

Parallèlement à cette action, le SMBH a réussi à récolter 500 € pour l'association de Daouda Karaboué (Daouda Karaboué Handball Coeur Afrique) en vente de maillots. Cette association construit notamment des salles de sports et équipe les écoles d'Afrique en matériel. Un grand merci à tous encore une fois. Les maillots seront remis dimanche 11 décembre, à Thomas Colnel, à Nantes en mains propres par Daouda Karaboué lui-même.
Le SMBH compte désormais une cinquantaine d'adhérents, si vous souhaitez connaitre les équipes, les horaires d'entrainements : smbhandball@gmail.com

La mémoire et l'émotion demeurent fortes. La journée nationale d'hommage aux Morts pour la France de la Guerre d'Algérie et des combats du Maroc et de la Tunisie a été célébrée dans la dignité.

Des officiels, dont le député Gérard Cherpion, le maire de Bruyères, Alain Blangy, conseiller général honoraire, Michel Langloix, le conseiller régional, Daniel Gremillet, le président de la communauté de communes de la vallée de Vologne, André Claudel, le président des AFN à Bruyères, Georges Antoine, les porte-drapeaux, mais aussi des anciens combattants et des familles de disparus se retrouvaient sur l'esplanade du Souvenir pour marquer le respect dut aux Morts pour la France.

Des gerbes de fleurs étaient déposées au pied du monument et la Marseillaise était chantée par l'ensemble des personnes venues se recueillir. Un vin d'honneur était ensuite offert au grand salon de l'Hôtel de Ville.

La date de samedi 3 décembre 2011 sera marquée d'une pierre blanche, car on entend plus souvent parler de classes ou même d'établissements scolaires complets qui ferment leurs portes que d'une école qui se construit. Il s'agit donc un véritable événement que celui vécu à Champ le Duc, petite commune de 592 habitants et située près de Bruyères. « Aujourd’hui, après un an de travaux, il nous a paru important d’inaugurer cette construction, car l’école a toujours été le centre de nos préoccupations et de nos priorités. » Françoise Blanc, maire du village, ne cachait pas son contentement de coiffer la casquette de guide pour faire découvrir les lieux à ses invités.

D'ailleurs, le député Gérard Cherpion, le sénateur, Jackie Pierre, vice-président du Conseil général des Vosges, son collègue, Christian Tarantola, conseiller général du canton de Bruyères, le conseiller général honoraire, Michel Langloix, Daniel Gremillet, conseiller régional, Alain Gremillet, maire de Beauménil ( l'une des communes du RPI ), André Claudel, président de la communauté de communes de la vallée de Vologne, le lieutenant, Dominique Lallemand, commandant de la brigade de gendarmerie de Bruyères, l'inspecteur académique, M. Pierre et l'ensemble des personnes présentes ne boudaient pas leur plaisir de parcourir les locaux conçus par Yannick Piquée. Un architecte qui pour dessiner son projet s'est tenu à l'écoute des élus, mais aussi de l'ensemble d'une équipe pédagogique mobilisée sur le sujet.

« Le Regroupement Pédagogique Intercommunal des communes de Champ le Duc, Beauménil et Fiménil avait déjà permis de conserver nos salles de classe qui se sont trouvées réparties sur les trois communes. La commune de Champ le Duc ne possédait pas de local, à la fois spacieux et fonctionnel pour ce regroupement et permettre d’accueillir un nombre d’élèves en constante augmentation en assurant une scolarité dans de bonnes conditions pour toutes les classes de maternelle et primaire. Le projet de construction d’un nouveau bâtiment devenait nécessaire. » Ajoutait Françoise Blanc, sans manquer de remercier, l'État, le député, et le Département qui ont mis la main au portefeuille pour apporter des aides financières appréciables. Le coût de cette construction étant de 553 000 € HT, les subventions obtenues s’élèvent à environ 291000 € représentant 60 % du projet. L'argent n'a pas été gaspillé. « Nous sommes restés dans l’enveloppe allouée, sans dépassement. Ce budget a même permis de prévoir l’enrobé de la cour et des places de parking supplémentaires. » Dira encore Madame le maire. 89 garçons et filles fréquentent l'école du village, dont 22 enfants en petite et moyenne section, 16 en grande section et CP. Une cantine-garderie gérée par Christiane Lipp complète l'encadrement scolaire en offrant  une structure d’accueil importante pour les parents et les enfants. Tour à tour, les autorités exprimaient au fil des discours la certitude que l'école est l'avenir de l'Homme !

La hausse de la TVA sur la vente du livre ne fait pas l'unanimité dans les rangs politiques, tant s'en faut. Christian Pierret, président de la FMVM, maire de Saint-Dié-des-Vosges donne son sentiment dans un communiqué dont voici le contenu.

« Nous sommes tous conscients aujourd’hui de l’urgence d’une maîtrise rigoureuse des déficits et de la nécessité de mesures fortes face à la crise. Encore faut-il que celles-ci soient justes. Le passage de la TVA de 5,5 % à 7 % sur le livre, et la volonté de mettre fin au prix unique du livre, décidé en 1981, est non seulement inefficace, mais réellement injuste.

Le Syndicat de la Librairie Française révèle que l’application de cette mesure coûtera plus cher à l’État qu’elle ne rapportera vraiment. Dans le même temps, ce sont 10 à 15 % de nos librairies indépendantes qui seront très fragilisées par cette mesure, des dizaines d’entre elles sont même vouées à disparaître sous l’effet de ce dispositif.

Il est donc clair que l’impact sur les librairies, et ce qu’elles représentent en termes d’animation et de vivacité du commerce de proximité et plus largement de nos territoires, est particulièrement négatif.

Mais au-delà, ce projet est un mauvais signe, décourageant, envoyé aux Français, de toutes opinions politiques, dont la conviction est que la culture, l’éducation et le savoir ne peuvent entrer dans le champ classique du marché, qu’ils constituent un rempart inestimable contre toutes les formes d’obscurantisme et d’extrémisme. Plus que jamais, le livre n’est pas un produit comme les autres !

Le président de la FMVM, Christian Pierret, ancien ministre, maire de Saint-Dié-des-Vosges, s’associe pleinement à la démarche des libraires indépendants et d’Hervé Gaymard qui a porté un amendement pour sortir le livre de la hausse de la TVA. »