La Girafe, Avison-Autrement

L'histoire illustrée par cette vidéo est toute simple. Pierre Didierjean rêvait de revoir Saint-Dié-des-Vosges depuis tout en haut du massif, là où culmine la roche Saint-Martin. Sans arrière-pensée, un jour cet homme handicapé à la suite d'une maladie lance cette petite phrase devant un ami. « Tiens là haut, cela fait plus de 10 ans que je n'y suis pas allé, et pour moi c'est fini ! » Il n'en fallut pas plus.

Le copain fit la surprise de réunir quelques personnes possédant suffisamment de coeur et capables de donner un coup de main à pousser le fauteuil roulant de Pierre sur le chemin montagneux. La proposition fit boule de neige entre gens d'origines sociales différentes. Au départ, tous parmi cette douzaine de paires de jambes et de bras, ne se connaissaient même pas. Le rendez-vous fut pris. Ah, un détail qui a son importance ! Dans un grand sac qu'il confia à un équipier de cette belle aventure, Pierre avait fait la surprise de préparer un goûter géant ! La vidéo montre l'effort, l'émotion et la beauté du geste !

Pour info, Pierre Didierjean a permis à la Girafe de publier cette vidéo. Bien évidemment, elle n'a rien à voir avec les vidéos publicitaires où vous pouvez cliquer pour aider au fonctionnement du blog.

La triste nouvelle du décès de Mme Joëlle Choserot est apprise avec peine. Née Hinzelin le 28 mai 1955, Joëlle naquit à Fiménil au sein d'une fratrie de cinq enfants, dont elle était l'aînée. Sa scolarité primaire réalisée dans son village natal, elle poursuit ses études à l'Institution Jeanne d'Arc à Bruyères. Elle entra rapidement dans la vie professionnelle et fut embauchée aux ateliers Colson, puis à l'usine SEB implantée au village. 

Le 22 septembre 1979, Joëlle épousa Claude Choserot. Quatre enfants virent le jour au sein du couple domicilié à Champ le Duc : Christophe qui habite à Prey, Lucy, épouse Peluzzi à Kaysersberg, Julien à Villoncourt et Céline, compagne de Stéphane Pierrot à Ingersheim. Quatre petits enfants, Cyril, Alix, Lola et Cloé sont ensuite venus agrandir le cercle familial. 

Souffrant d'une pathologie orpheline héréditaire découverte chez elle en 1997, Joëlle Choserot était accompagnée par ses proches ainsi que par des équipes dévouées d'aide à domicile et de personnels soignants. L'association ARES'AU lui prodiguait notamment un soutien apprécié. Malgré son lourd handicap, quelle savait évolutif, Mme Choserot prenait encore plaisir à réaliser de menus travaux de cuisine qu'elle réalisait grâce au travail précieux des aides à domicile. Les jeux de société ou la télévision lui apportaient un peu de distraction. D'un caractère bien trempé, Joëlle pouvait parfois dérouter les siens par des réactions fortes de souffrance morale et montrait peu un attachement pourtant sincère envers tout son petit monde. 

Ceux qui ont bien connu la défunte avant sa maladie se souviennent d'une femme discrète, qui sortait peu et aimait la nature. On se la rappelle profitant de quelques moments libres pour partir à la recherche de champignons.  

Son état de santé s'étant dégradé, Joëlle Choserot qui n'avait que 57 ans s'est éteinte à l'hôpital de Bruyères où elle avait été admise. Elle repose à présent au funérarium Lapoirie à Bruyères. Ses obsèques seront célébrées samedi 27 octobre 2012 à 14 h 30 min en l'église de Champ le Duc. 

 Sincères condoléances à ses proches.

Monsieur Claude CHOSEROT, son époux ;

Christophe et Barbara CHOSEROT,
Lucy et Olivier PELUZZI,
Julien et Elodie CHOSEROT,
Céline CHOSEROT et son conjoint Stéphane PIERROT,
ses enfants ;

Cyril, Alix, Lola et Cloé, ses petits-enfants ;

Les familles CHOSEROT, HINZELIN

Ainsi que toute la parenté,

ont la douleur de vous faire part du décès de

                               Madame Joëlle CHOSEROT, née HINZELIN

                                               Survenu à l'âge de 57 ans.

Ses obsèques religieuses seront célébrées samedi 27 octobre 2012,
à 14 heures 30 , en l' Église de CHAMP-LE-DUC,
suivies de l'inhumation au cimetière de CHAMP-LE-DUC.

L'offrande tiendra lieu de condoléances et cet avis de faire-part.

Par avance, la famille remercie toutes les personnes qui s'associeront à sa peine.

Madame Joëlle CHOSEROT repose au funérarium Lapoirie, 14 rue de l'Hôpital à Bruyères.

Vous pouvez déposer vos messages de condoléances et témoignages sur www.avis-de-deces.net

Comme toujours, le traditionnel déjeuner offert aux aînés du village s'est déroulé dans une ambiance conviviale. Quarante-trois convives ont ainsi apprécié l'excellent repas servi. Ce fut une occasion pour chacun de se retrouver et de profiter pour échanger quelques nouvelles en évoquant la vie quotidienne, la famille, les petits-enfants, mais aussi de parler d'avenir. 

Photo de " famille " sous le soleil d'octobre

Les doyens de cette belle assemblée, Jacqueline Somaré et Georges Bacus étaient tout particulièrement salués. Le maire du village, Christian Savage exprimait tout son plaisir de constater que nos retraités ont conservé, bon pied, bon oeil et bon appétit ! Actuellement, les doyens de Brouvelieures sont Charles Bedel, 97 ans et Andrée Baradel, 91 ans. Chacun souhaite à tous beaucoup de douceur et une bonne continuation.

Un accident de la circulation a été signalé à la Girafe ce mercredi matin. Les faits ont eu lieu plus précisement à hauteur de Chavelot. La personne décédée serait agée d'une quarantaine d'années et originaire des environs proches d'Epinal.

Des déviations sont peut être encore en place. Soyez prudents.

Indissociables du calendrier des commémorations d'octobre, les cérémonies de la Libération se sont déroulées en présence d'élus, dont le député Gérard Cherpion, le maire de Bruyères, Alain Blangy, le conseiller général Christian Tarantola, le conseiller général honoraire, Michel Langloix, le major de gendarmerie Philippe André, le maire de Biffontaine Denis Henry... Des pompiers, des gymnastes de l'Espérance, des porte-drapeaux, des Bruyèrois, et notamment des personnes d'origines américaines étaient également présents. Absente depuis un moment, la musique municipale bruyèroise actuellement en pleine restructuration, devrait être à nouveau opérationnelle avec un nouveau chef à sa tête dès le 11 novembre prochain.

Sur le massif forestier de l'Helledraye, devant le mémorial américain, puis au centre-ville sur l'esplanade du Souvenir la montée des couleurs, des dépôts de gerbes et les sonneries illustraient l'estime et l'attachement aux libérateurs, dont personne n'oublie d'abnégation et le courage.

Ambre Cerveaux a vu le jour le 29 septembre 2012 à zéro heure vingt-trois minutes à la maternité d'Epinal. Cette petite poupée est la fille de Cédric Cerveaux et d'Élodie Achouri domiciliés à Lépanges sur Vologne. Félicitations et meilleurs voeux à tous.

Un lecteur de Vosges-Matin a fait parvenir à la Girafe cette info sympa parue sur le quotidien vosgien.

Le club des Pervenches invite les amateurs de jeux de cartes et jeux de société à se retrouver à la salle d'animation de Champ-le-Duc les vendredis après-midi à partir de 13 h 45. Toutes les personnes intéressées sont bien entendu invitées à rejoindre le club.

Vendredi 12 octobre, dans le cadre de l'opération-école du Festival international de géographie de Saint-Dié-des-Vosges, un professeur de l'université Lumière de Lyon, Philippe Pellettier, est venu au lycée Jean Lurçat de Bruyères faire un exposé aux élèves de Terminale économique et sociale de Myriam Jacquot et de Alain Jacq. On compte Philippe Pellettier parmi les meilleurs spécialistes français du Japon, où il a vécu huit ans et dont il parle la langue.

L'éminent professeur a traité de la catastrophe de Fukushima et de l'énergie nucléaire au Japon. Un an et demi après cette catastrophe, une région de 20 km autour de la centrale, appelée « zone rouge », est inhabitée parce que la radioactivité y est beaucoup trop élevée. Cette zone comptait 80 000 habitants avant l'accident nucléaire. Au-delà de ces 20 km et jusqu'à 100 km autour de la centrale, les sols sont contaminés pour deux ou trois siècles. La population risque d’y développer dans quelques années des cancers de la thyroïde. Le danger est d'autant plus sournois que les radiations sont totalement invisibles et ne peuvent être détectées que par des appareils spéciaux.

Selon M. Pelletier, ce danger est minimisé par certains : par l’industrie nucléaire, par des journalistes, des hommes politiques et des scientifiques. Un des médecins les plus connus qui minimise les effets de la catastrophe nucléaire est le professeur Shunichi YAMASHITA de l’université de Nagasaki. Or des chercheurs ont montré que ses travaux sont financés par une fondation d'extrême droite, la Nippon Foundation, qui cherche à détourner l’opinion publique des problèmes provoqués par la catastrophe de Fukushima en suscitant des tensions avec la Chine pour la possession d’îlots dans l’océan Pacifique.

La décision de développer l'énergie nucléaire au Japon a été prise en 1955, donc bien avant le premier choc pétrolier de 1973. Cette décision a été fortement encouragée par les Américains qui voulaient vendre leur technologie et montrer que l'atome, dont ils se sont servis, pour vaincre le Japon en bombardant en août 1945 les villes d'Hiroshima et de Nagasaki, pouvait aussi avoir un rôle positif.

Après la catastrophe de Fukushima, le premier ministre japonais Naoto KAN a décidé d’arrêter les centrales nucléaires, qui fournissaient 20 % de l'électricité japonaise. Mais il a dû démissionner à la suite d’une campagne de presse du quotidien Yomiuri, qui est favorable à une reprise de l’activité des centrales nucléaires.

Cet exposé très vivant de M. Philippe Pellettier , qui abordait un aspect très peu connu en France de l’accident de Fukushima, a intéressé vivement les élèves du lycée Jean Lurçat.

Sans vouloir trop se plaindre, il est des situations absolument insupportables. Ainsi du côté des HLM plusieurs locataires du bâtiment 15 et 17 de l'avenue de Lattre de Tassigny à Bruyères n'en peuvent tout simplement plus.

Mme Nicole explique avoir déjà nettoyé plusieurs fois, ici le volet de la chambre de son fils, mais les nuisances reviennent. Et, lorsque comme dans son cas on demeure à l'étage, comment faire pour gratter et laver sans salir l'espace des voisins du dessous ? D'autant, que le problème revient à tire d'ailes !

Que les pigeons roucoulent sans cesse au dessus des têtes, passe encore. Mais de recevoir en permanence les fientes des oiseaux sur les carreaux, les bords de fenêtres et les volets, cela devient invivable et malsain.

Il semble que la cause de ce grand rassemblement de la famille Columbidae sur la toiture soit provoquée par un nourrissement. Très certainement animées par de bons sentiments envers les animaux, des personnes donnent à manger du pain aux oiseaux. Ces derniers, fort heureux de ne pas avoir à chercher leur pitance en forêt, viennent nicher bien au chaud dans les espaces cubiques construits en façade. Les oisillons grandissent... se reproduisent, et ainsi de suite. Le pigeon domestique étant un commensal parmi les plus envahissants, des solutions peuvent être recherchées. En commençant par ne plus approvisionner les pigeons. Ce qui, il faut le rappeler, est interdit par arrêté municipal. Question de bon sens et d'hygiène !

Une société contacte actuellement les Bruyérois dans le but de visiter la charpente de leur maison. Cette société se dit autorisée ou en partenariat avec la mairie. C'est complètement faux, il s'agit là d'une tromperie !