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06/01/2009

Champ le Duc : décès d'Annie Burton

BURTON.jpgMme Annie Burton s'est éteinte des suites d'une maladie face à laquelle elle luttait courageusement. Née le 24 juillet 1951 à Longwy (54), Annie réalisa ses études dans sa ville natale. Le 17 décembre 1968, elle épousa le gendarme Yves Burton, actuel maire adjoint à Champ le Duc. Le couple vécut alors à différents endroits de France. Mme Burton suivant alors son mari au rythme de sa vie professionnelle de militaire. Trois enfants naquirent : Jean-Yves, médecin domicilié à Pontault Combault ( 77) ; Valérie, professeur de sports, épouse Bohin à Saint-Mihiel (55), et Carole, pharmacien à Nancy. Cinq petits enfants : Thomas, Morgane, Ambre, Louise-Anne et Sacha virent agrandir la famille.
C'est en mars 2005 que M. et Mme Burton avaient choisi de venir s'installer à Champ le Duc pour y couler des jours paisibles. Secrétaire de l'association nationale des épouses de militaires l'ANFEM à Nancy, Annie Burton s'impliquait activement dans la vie associative. Elle prenait également plaisir à profiter de la nature et de réaliser des marches sur les chemins forestiers.
Bonne cuisinière, Annie savait s'occuper du bonheur de sa maison et de son jardin. Ceux qui l'ont connue se souviennent d'une femme respectable très attachée aux siens. Elle était en particulier une grand-mère attentionnée qui adorait ses petits-enfants. Malade depuis quelque temps, Mme Burton espérait vaincre le mal qui la minait. Son destin en décida malheureusement autrement.
Annie Burton repose au funérarium Lapoirie, 14 rue de l'hôpital à Bruyères. Ses obsèques seront célébrées jeudi 8 janvier 2009 à 16 h en l'église de Champ le Duc et suivies de l'inhumation au cimetière de Champ le Duc.
Sincères condoléances.

Bruyères : décès de Marcel Laforge

Marcel Laforge.jpgMarcel Laforge est décédé le 4 janvier 2009 à l'hôpital de Bruyères où il avait été admis dernièrement. Né le 3 septembre 1935 à Nomexy, Marcel était le benjamin d'une fratrie de quatre fils. Son enfance passée dans sa ville natale, il fut appelé sous les drapeaux et demeura 28 mois en Afrique du Nord. Il était à ce titre titulaire de la médaille du combattant et membre de l'association des AFN. En 1955, il se maria avec Anne-Marie Jacotté. Cinq enfants naquirent au sein du couple : Francine, épouse Coulon qui habite à Docelles, Jean-Claude à Châtenois, Maryanne, épouse Mangeard à Verdun, Odile à Mont-de-Marsan et Agnès à Saint-Michel sur Meurthe. Douze fois grand-père, le disparu connu aussi le bonheur de voir la venue au monde de 3 arrière-petits-enfants. Installé en Meuse en 1961, Marcel Laforge travailla dans une entreprise de charpente métallique. C'est en 1972 qu'il revint vivre à Bruyères avec sa famille. Il fut alors embauché aux papeteries Mougeot où il termina sa carrière professionnelle. Retraité depuis 13 ans, il demeurait avec son épouse rue Léopold à Bruyères. Passionné de foot, Marcel avait exercé avec talent en qualité d'arbitre de la Ligue de Lorraine. ON se souvient aussi qu'il aimait beaucoup jouer à la pétanque ou encore s'adonner à une bonne partie de pêche. Adhérent du club des Bons Lohis avec Anne Marie, il appréciait la compagnie des autres membres et pratiquait avec plaisir les activités associatives. Veuf depuis le 29 juillet 2009, Marcel Laforge avait beaucoup souffert de la disparition de celle qui fut la compagne de toute sa vie. Le décès de son épouse l'avait alors grandement fragilisé.
Marcel Laforge repose au funérarium Lapoirie à Bruyères. Ses obsèques seront célébrées mercredi 7 janvier à 14 h 30 en l'église de Bruyères. Selon la volonté du disparu, le corps sera ensuite crématisé.
Sincères condoléances.

03/01/2009

Bruyères : remerciements après le décès de Mathilde Durand


BRUYERES
Lors des obsèques de
Madame Mathilde DURAND
Dans l’impossibilité de répondre individuellement, sa famille remercie toutes les personnes qui se sont associées à sa peine par leur présence, leur envoi de fleurs, de cartes, de plaques et de messages de condoléances et les prie de trouver ici, l’expression de sa reconnaissance
Elle n’oubliera pas l’accueil chaleureux du service d’urgence, celui de cardiologie et enfin celui de la neurogériatrie de l’hôpital Jean Monnet à Epinal.

30/12/2008

Bruyères : décès de Mathilde Durand

mathilde Durand.jpgLe décès à Epinal de Mathilde Durand a été appris avec consternation sur tout le secteur de l'Avison où elle était bien connue. Son état de santé devenu précaire s'était brusquement détérioré et avait justifié son transfert dimanche 28 décembre au centre hospitalier Jean Monnet. Elle s'est éteinte entourée de l'amour des siens qui veillaient sur elle. Née Schwoob, le 19 mai 1920 à Fegersheim (67), Mathilde, dont le père avait été enrôlé de force sur le front Russe en 1914, vécu une enfance marquée par la guerre et la situation particulière de l'Alsace. C'est là qu'elle passa sa jeunesse, lorsque survint un nouveau conflit avec l'Allemagne.
Mathilde choisit de quitter sa région natale. Elle arriva à Brouvelieures chez la cousine d'une amie qui l'accompagnait dans son exil. Elle fut alors accueillie avec bonté chez Bépi et Mathilde Costa. Des personnes à qui elle voua toujours une grande reconnaissance. C'est à cette époque qu'elle connut Hubert Durand. Il devait devenir son mari le 6 janvier 1940. Des événements tragiques jalonnèrent son existence. Mathilde Durand fut témoin de faits qui lui permirent de sauver beaucoup de vies humaines. Un bombardement venait de frapper Brouvelieures, et environ 25 personnes se trouvaient cachées dans une cave lorsqu'un Français révolté qui se trouvait dans la rue tira avec un révolver sur les Allemands. La réplique armée fut immédiate. Les Allemands pensaient que les coups étaient partis de la cave et ripostèrent en ce sens. Des gens qui se tenaient debout dans l'abri périrent. Mathilde qui parlait la langue de l'occupant n'écouta que son courage. Elle fit front les conjurant en hurlant d'arrêter le massacre d'innocents, pour la plupart des femmes et des enfants. Son intervention toucha l'ennemi qui cessa le feu. Une autre fois, alors qu'un feu accidentel s'était déclaré à l'intérieur de la scierie Jeancolas, elle jura au SS présent qu'il ne s'agissait pas d'une manœuvre de résistants. La menace de fusiller des hommes tomba à néant. La guerre s'achevait lorsqu'un jour elle se trouvait au cimetière en visite sur une tombe. À la recherche de métaux à fondre les Allemands rageaient de ne plus trouver les obus placés autour du monument. Dix hommes furent rassemblés dos au mur. Mathilde fut la providence des condamnés. Elle jura au péril de la découverte de son mensonge qu'elle avait vu une camionnette allemande venir prendre les fameux obus. Ce ne sont là que quelques faits, car elle aida aussi à ravitailler le maquis.
Employée du restaurant Dossmann, elle fut plus tard, et cela, pendant de très nombreuses années, employée au restaurant de la Renaissance à Bruyères.
Mère de cinq enfants : Hubert qui habite à Meyrargues au Maroc ; Marie-Madeleine, épouse Cadario à Bruyères, Michèle, épouse Peltier, adjointe au maire à Bruyères, Danièle à Bruyères et Jean-Jacques à Gugnécourt. Grand-mère de 7 petites filles, Mathilde connut le bonheur de voir la venue au monde de 16 arrière-petits-enfants, dont le dernier n'a que 5 mois. Veuve d'Hubert depuis 1976, Mme Durand laisse le souvenir d'une femme courageuse très attachée à sa famille. Résistante de l'ombre, elle fut de ceux dont on ignore trop souvent les actes de bravoure. Ceux-là mêmes qui n'ont que la mémoire pour reconnaissance.
Mathilde Durand qui demeurait rue du 442 RIA repose au funérarium Lapoirie à Bruyères. Ses obsèques seront célébrées vendredi 2 janvier 2009 à 14 h 30 en l'église paroissiale de Bruyères. Sincères condoléances.


29/12/2008

Bruyères : décès d'André Viant

DSCF6211.JPGAndré Viant est décédé à l'âge de 90 ans à la maison de retraite de Bruyères où il demeurait depuis le 18 juin 2008. Issu d'une fratrie de 6 enfants, André naquit le 30 juillet 1918 à Eloyes. Il se maria en 1946 avec Marie-Louise Sergent. Trois enfants virent le jour au sein du couple : Guy qui habite à Vandoeuvre ; Annette, épouse Hollard à Fays, Dominique, épouse Layer à Villette d'Anthon ( 38). Cinq petits-enfants, puis quatre arrière-petits-enfants virent plus tard agrandir le cercle familial. Grumier aux établissements Baradel à Brouvelieures, André Viant devint ensuite chauffeur routier aux papeteries Mougeot à Laval sur Vologne. C'est là qu'il termina sa carrière professionnelle. Prisonnier de guerre durant 6 ans en Allemagne, M. Viant était à ce titre membre de la section lépangeoise des anciens PG. Il était également adhérent de la Légion-Vosgienne. Le disparu laisse le souvenir d'un homme robuste et bon vivant qui aimait pratiquer le bricolage. Il s'adonnait également avec plaisir à la chasse et à la pêche. Longtemps habitant de Deycimont, veuf de Marie - Louise depuis le 3 janvier 2008, il s'est éteint entouré de l'attention de ses proches.
André Viant repose au funérarium Lapoirie, 14 rue de l'hôpital à Bruyères. Ses obsèques seront célébrées mardi 30 décembre 2008 en l'église de Lépanges sur Vologne et seront suivies de la crémation. Condoléances.

28/12/2008

Décès de Janine Demange

Demange Janine couleur.jpgMme Janine Demange s'est éteinte à l'âge de 83 ans samedi 27 décembre 2008 à son domicile au nº 17 avenue de Lattre de Tassigny à Bruyères. Née Curin, le 16 septembre 1925, Janine était l'aînée de 6 enfants et réalisa une partie de sa scolarité à Laval sur Vologne. Le 27 avril 1957, elle épousa Maurice Demange. Le couple partit alors habiter à Paris en 1958 et vécut 6 ans dans la capitale. M. et Mme Demange qui restèrent sans enfant firent alors le choix de revenir dans les Vosges pour s'installer à Saint-Dié. La disparue qui avant son mariage avait travaillé aux ateliers Doumy à Bruyères trouva alors un emploi chez Lehmann à Saint-Dié. C'est à cette époque qu'elle fut victime très grave accident de la circulation. Janine se fit renverser par une voiture et fut même plongée dans le coma. Il en résultait une longue période de souffrance et d'arrêt maladie d'environ un an et demi. Ce qui lui valut d'être licenciée par son entreprise. Remise de ce choc, Mme Demange fut embauchée à la clinique Robache à Saint-Dié. Elle y demeura alors jusque sa retraite. M. et Mme Demange reprirent alors la direction de l'Avison, pour y couler des jours paisibles. Ceux qui connurent la défunte se souviennent d'une personne vive et dynamique qui savait fédérer des liens d'amitié entre les gens. La nature en générale, des Vosges en particulier, les fleurs lui apportaient du bonheur. Janine éprouvait également un grand plaisir de partir en vacances et faire du caravaning avec son époux. La disparition de Janine Demange peine ses proches et ceux qui nombreux appréciaient ses qualités et sa joie de vivre.
Mme Janine Demange repose au funérarium Lapoirie 14 rue de l'hôpital à Bruyères où la famille reçoit de 9 h à 19 h. Ses obsèques seront célébrées lundi 29 décembre 2008 à 14 h 30 en l'église de Bruyères, suivies de l'inhumation au cimetière de Bruyères. L'offrande tiendra lieu de condoléances.
Condoléances.

27/12/2008

Bruyères : décès de Janine Demange

Mme Janine Demange, née Curin qui demeurait au n° 17 de l'avenue de Lattre de Tassigny à Bruyères est décédée à l'âge de 83 ans. Les obsèques religieuses seront célébrées lundi 29 décembre 2008 à 14 h 30 en l'église de Bruyères. Suivies de l'inhumation au cimetière de Bruyères.
Condoléances.

23/12/2008

Bruyères : décès de Suzanne Humbert

Humbert.jpgSuzanne Humbert est décédée à l'hôpital d'Epinal. Née Nourdin, le 20 septembre 1936 à Bruyères, Suzanne était issue d'une grande famille de 10 enfants dont la seule survivante est Simone Villemin qui demeure à Paris chez sa fille. Devenue jeune femme elle épousa Roger Humbert, papetier. Resté sans enfant le couple habita un moment aux HLM, puis à Laval sur Vologne. C'est après le décès le 6 août 1994 de son mari que Suzanne Humbert vint vivre aux « Tranches millions » à Bruyères. D'une santé fragile, elle habitait à la MAPAD de la rue Louis Marin depuis environ 4 ans. Très vive et souriante, Suzanne aimait partager son temps libre pour faire la conversation ou disputer une bonne partie de cartes. Nombreux neveux et nièces, ses beaux frères et belles sœurs et des proches lui apportaient une tendre affection.
Les obsèques seront célébrées mercredi 24 décembre 08 à 10 h 30 en l'église paroissiale de Bruyères, suivies de l'inhumation au cimetière de Bruyères. Nos condoléances à ses proches.

21/12/2008

Lépanges sur Vologne : décès de Jean Nourdin

Jean Nourdin Lépanges.jpg
Jean Nourdin est décédé à l'âge de 84 ans à la maison de retraite de Granges sur Vologne. Né le 12 avril 1924 à Lépanges sur Vologne, il était le fils de Julien Nourdin, ancien maire de Lépanges sur Vologne. On se souvient que Jean travailla dans l'entreprise créée par son père et qu'il lui succéda jusqu'à l'heure de la retraite. Le 22 novembre 1949, il épousa Paulette Flageollet. Père de 5 enfants, il eut la douleur de perdre une fille en bas âge. Jean Nourdin est le papa d'Henri, époux de Marie-Claude Claudon, un enfant, demeurant à Lépanges sur Vologne ; François, époux Christiane Crouvezier, deux enfants, résidant à Les Forges, Jacques, époux de Bernadette Durupt, deux enfants, habitant à Chazay d'Azergues (69) et Alain. Cinq fois grand-père et six fois arrière-grand-père, Jean Nourdin repose au funérarium Lapoirie à Bruyères. Ses obsèques seront célébrées lundi 22 décembre 2008 à 14 h 30 en l'église de Lépanges sur Vologne. Condoléances.

17/12/2008

Girecourt sur Durbion : décès de Jeanne Cuenin




Mme Jeanne Cuenin, née Guyot est décédée à l'âge de 82 ans. Jeanne qui était affectueusement appelée « 'Nénette » avait vu le jour le 6 septembre 1926 à Nancy. Orpheline très jeune, elle avait trouvé chez sa tante Marie Guerre, à Girecourt, une seconde famille. Dès 14 ans, elle fut embauchée à la BTT de Thaon, où elle fit toute sa carrière. Mariée à René Cuenin, en 1979, le couple a habité quelques années à Thaon, avant de revenir chemin de la Passée à Girecourt. Le travail, le jardin, les fleurs étaient les occupations favorites de Jeanne Cuenin, par ailleurs estimée pour sa gentillesse. Elle fut admise à l'hôpital de l'Avison de Bruyères fin 2001, où son époux, René, l'a rejointe en 2006. En proie à des difficultés respiratoires, Jeanne Cuenin s'est éteinte ce mercredi 17 décembre 2008. Ses obsèques seront célébrées vendredi 19 décembre à 10 h, en l'église de Girecourt sur Durbion, suivies de l'inhumation au cimetière communal. Condoléances.



11/12/2008

Docelles : décès de Thérèse Guyot

Thérèse Guyot, née Claudon est décédée à l'âge de 82 ans. La défunte repose au funérarium Lapoirie 14 rue de l'hôpital à Bruyères. Ses obsèques seront célébrées samedi 13 décembre 2008 à 14 h 30 en l'église de Docelles. Suivies de l'inhumation au cimetière de Docelles. Condoléances

Fremifontaine ; décès de Denis Doridat

Denis Doridat est décédé à l'âge de 46 ans. Il est le fils de Monique Doridat qui demeure au 10 rue de la Bonne Dame à Fremifontaine et le père d'Alexandra et Lucie. Denis Doridat repose au funérarium Lapoirie 14 rue de l'hopital à Bruyères. Ses obsèques seront célébrées samedi 13 décembre 2008 à 10 h en l'église de Fremifontaine. Condéléances.

Bruyères : décès de Claire Collin

claire Collin.jpgClaire Collin est décédée mercredi 10 décembre 2008 à son domicile de la rue Louis Marin. Née Grandclaudon le 22 avril 1923 au Roulier, elle épousa en premières noces Maurice Cunin, décédé jeune et dont elle devint veuve alors qu'elle n'avait que la trentaine. Sept enfants virent le jour au sein du couple : Arlette, épouse Colin qui demeure à Xonrupt, Serge décédé en 1960, Jeanine, épouse Nourdin à Champ le Duc, Éliane, épouse Idoux à Bruyères, Annette, épouse Jung à Filstroff (57 ), Jacqueline, épouse Begel, décédé en 2006, et Yvan qui habite à Fays. Claire Collin fit preuve de beaucoup de courage, élevant ses enfants tout en travaillant à l'extérieur de sa maison. Employée du tissage de Vanemont, elle fut embauchée ensuite aux ateliers Doumy, puis aux cuisines de l'hôpital de Bruyères et enfin chez Claude. Veuve de Maurice depuis 1954, la disparue épousa en 1960 Louis Collin en secondes noces. Dix-neuf fois grand-mère, elle devint bisaïeule près d'une trentaine de fois, et connu le bonheur de voir la naissance de plusieurs arrières arrière - petits enfants. Cinq générations dont elle était très fière. Après avoir longtemps vécu dans le quartier du lavoir, Mme Collin était allée vivre voici une dizaine d'années à la résidence de l'Avison. Ceux qui l'ont connue se souviennent d'une femme dynamique et souriante qui aimait partager son temps libre pour une bonne partie de cartes, ou des sorties amicales. Avenante, Claire était de ces personnes qui tiennent avec plaisir la conversation. Les obsèques seront célébrées vendredi 12 décembre 2008 à 14 h 30 en l'église de Bruyères. Le corps sera ensuite crématisé. Condoléances

08/12/2008

Bruyères : décès de Marie-Thérèse Toussaint

Mme Marie-Thérèse Toussaint, s'est éteinte lundi 8 décembre 2008 à l'hôpital de Thionville où elle avait été admise depuis quelque temps . Née Balland à Laval sur Vologne au sein d'une fratrie de 4 enfants dont elle était l'aînée, Mme Toussaint vécu son enfance à Laval. Elle réalisa sa scolarité primaire dans son village natal. Devenue jeune femme, elle épousa Henri Toussaint le 25 septembre 1948. Deux garçons : Alain et Lionel, deux filles : Régine, épouse Zilli et Fabienne, épouse Thirion ont vu le jour au sein du couple. Tous demeurent actuellement à Guenange en Moselle.
C'est en 1950, que M. et Mme Toussaint choisirent de partir vivre en Moselle et en 1978 qu'ils revinrent dans les Vosges pour y passer leur retraite à Bruyères. Veuve d'Henri depuis 1993, Marie-Thérèse s'était alors rapprochée de sa famille et avait quitté la région de l'Avison en 1994.
Neuf fois grand-mère Marie Thérèse Toussaint eut également le bonheur de voir naître neuf arrière-petits-enfants.
Marie-Thérèse laisse le souvenir d'une femme très attachée à son petit monde, d'une maman et d'une aïeule toute de tendresse. Les obsèques seront célébrées mercredi 10 décembre 2008 en l'église de Guenange. Le corps sera ensuite crématisé et les cendres inhumées à Bruyères. Condoléances.

01/12/2008

Décès d'Alojz Knezovic

alojz-knezovic-250x166.jpg Le décès à l'hôpital de Tuzla en Bosnie Herzegovine d'Alojz Knezovic est appris avec tristesse. Né en 1938, il avait donc tout juste 70 ans et était père de trois enfants : Predrag, qui habite à côté de Rotterdam, Zejlka qui réside à Strasbourg et Zvonka, compagne du conseiller général Étienne Pourcher à Fremifontaine. Alojz Knezovic avait été séparé de ses enfants partis de Yougoslavie à cause de la guerre au début des années 90. Sa deuxième épouse, Dragiza, maman de Zvonka, vit actuellement dans leur maison de Tuzla au nord de Sarajevo en Bosnie Herzegovine. Opticien de métier, Alojz Knezovic tenait son magasin à Tuzla. Grand patriote, il s'est engagé dans l'armée bosniaque dès le début de la guerre, alors qu'il avait plus de 50 ans (de nombreux officiers de l'armée bosniaque ont assisté à son enterrement et ont rappelé son engagement). Après la guerre, il a été élu député de la fédération de Bosnie. Dans un bel éloge funèbre, le doyen de la faculté d'économie évoquait avec émotion son engagement humaniste et laïc, sa tolérance envers toutes les religions dans cette région des Balkans où se côtoient catholiques, orthodoxes et musulmans. Son combat discret en faveur des retraités et des plus démunis est admiré. Ses proches ont même appris avec étonnement qu'avec son indemnité de député il avait financé des bourses pour des étudiants qui ne pouvaient se payer leurs études. Retraité depuis quelques années, il profitait de ses petits - enfants : Vanessa, Ines, Biljana, Boljana, Sonia, Léo et Sacha durant les vacances d'été, dans sa maison toujours ouverte où l'on parlait bosniaque, serbo- croate, français, néerlandais... La pêche et les promenades avec son chien Snoopy étaient sans doute ses passe-temps favoris, tout comme les débats politiques. Toujours au fait de l'actualité, Alojz s'enflammait sur des forums internet où ses adversaires respectueux ont déposé de nombreux messages de sympathie à l'annonce de sa mort. Les débats politiques existaient avec son gendre aussi. Il avait su expliquer son point de vue et évoquer l'époque de Tito avec nostalgie, mais sans aucune complaisance. L'enterrement de cet homme de valeur a été suivi de nombreuses personnalités locales et nationales à Tuzla. Un reportage à la TV nationale lui a également rendu honneur. Rien ne laissait à imaginer, un décès aussi rapide provoquer une rupture de l'aorte qui l'a emporté en 8 jours. La disparition d'Alojz Knezovic le 26 novembre 2008 laisse un grand vide dans tout autour de lui et dans la vie politique de son pays dont il fut un fervent défenseur. Il a été inhumé samedi 29 novembre 08 et repose désormais à Tuzla. Sincères condoléances à ses proches.

Fiménil : décès d'Odile Petitdidier

odile petitdidier.jpgPensionnaire de la maison de retraite de l'hôpital de l'Avison avec son mari, Mme Odile Petitdidier s'est éteinte samedi 29 novembre 08 à l'âge de 85 ans. Née Pierrat le 24 avril 1923 à Beauménil, elle était la seconde d'une fratrie de trois filles. Elle eut le chagrin de devenir orpheline de père très jeune lorsque son papa mourut en déportation.
Le 30 avril 1945, elle avait épousé Paul Gabriel Petitdidier agriculteur. Le couple pris alors en charge la ferme du Champ François à Fiménil. Quatre enfants naquirent : Michel, pensionnaire de la MRI, Monique épouse Pierre à Bois de Champ, Jeanne Marie - épouse Pierrat à Fiménil et Bernadette compagne de Christian Balland à Deycimont. Six petits – enfants et sept arrière petits -enfants vinrent ensuite agrandir le cercle familial. Handicapée depuis l'âge de dix suite à une poliomyélite, Odile Petitdidier surmontait ses difficultés avec un courage admirable. La couture, le tricot, le jardinage occupaient avec bonheur son temps libre.
Ses obsèques seront célébrées le mardi 2 décembre à 14 h en l'église de Champ le Duc. Condoléances


27/11/2008

Tendon : décès de Raymond Poirot

Raymond Poirot est décédé le jeudi 27 novembre 2008 à l'âge de 79 ans. Ses obsèques religieuses seront célébrées samedi 29 novembre 2008 à 14 h 30 en l'église de Tendon.
M. Poirot repose au funérarium Lapoirie à Bruyères. Condoléances

Décès de Patrick François

Patrick François LastScan.jpgPatrick François est décédé à son domicile des suites d'un malaise cardiaque. Né le 1 avril 1952 à Maidières (54), Patrick était le troisième d’une fratrie de 6 enfants. Sa scolarité terminée, il fut appelé sous les drapeaux et entra alors dans la Marine pour une période de 3 ans. Il intégra ensuite la Gendarmerie. Plus tard, il fut embauché aux Salines de l’Est. Victime de problèmes de santé, il fut placé en invalidité en 1993. Le 24 juin 1972, Patrick François épousa Roberte Schneider. Deux enfants, qu'il adorait, naquirent au sein du couple : Stéphane, décédé accidentellement le 14 septembre 2002 des suites d'une chute et Peggy, compagne de Laurent Schaefer, 44 place Stanislas à Bruyères. Bon mari, Patrick François fut également un bon père de famille, attentif aux siens. Il était également un collègue de travail apprécié. Il laisse à ceux qui l'ont connu le souvenir d'un homme discret et gentil. Retraité depuis un an, il avait choisi de venir vivre à Bruyères avec son épouse depuis 3 ans. Son départ subit plonge ses proches dans le chagrin. Patrick François repose au funérarium Lapoirie à Bruyères.
Une bénédiction sera donnée au funérarium samedi 29 novembre 2008 à 14 h 30. Le corps sera ensuite crématisé. Condoléances.

26/11/2008

Souvenir : Mundeta Georges



Dix ans…, Mundeta Georges, née Sabate à Barcelone, nous quittait le 26 novembre 1998.
Après un long calvaire, Mundeta (Mounedéta) s’en est allée vers un autre monde.
Un univers où elle a rejoint ses parents, Francisca et Ramon Sabate, son frère José Sabate, et tous ceux qu’elle espérait retrouver. Ses cinq enfants, ses petits-enfants, ses arrière-petits-enfants, et tous ceux qui l’ont aimée, gardent en leur cœur le bonheur d’avoir partagé un peu de son chemin.

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Mundeta fut un don du ciel pour ceux qui l’ont chérie. Une prière, une pensée, une fleur, une lumière allumée, un instant de recueillement sur sa tombe au cimetière de Bruyères où elle repose, un geste sincère d’amour ou d’amitié, souvenez vous d’elle.
Séchez vos larmes, Mundeta vit à travers vous.
Faites en chaque instant qu’elle soit fière de vous.




22/11/2008

Docelles : Décès de Emma Tachet

Emma Tachet, née Carini est décédée le 22 novembre 2008 à l'âge de 85 ans. La famille rappelle au souvenir de son mari, Maurice et de son fils, Alain. Les obsèques religieuses auront lieu le lundi 24 novembre 2008 à 15 h 30 en l'église de Docelles. Suivies de l'inhumation au cimetière de Docelles. L'offrande tiendra lieu de condoléances. Par avance la famille remercie toutes les personnes qui prendront part à sa peine. Emma Tachet repose au funérarium Lapoirie, 14 rue de l'hôpital à Bruyères. Condoléances.

Lépanges sur Vologne : décès de Suzanne Pierre

Suzanne Pierre, née Poliart est décédée le vendredi 21 novembre 2008 à l'âge de 85 ans. Ses obsèques religieuses seront célébrées lundi 24 novembre 2008 à 14 h 30 en l'église de Lépanges sur Vologne. L'offrande tiendra lieu de condoléances.
Selon la volonté de la défunte, ni fleurs, ni plaques, des prières et des messes. La famille ne reçoit pas.
Condoléances.

16/11/2008

Aumontzey : décès d'Annette Labeys

Annette Labeys, née Noël s'est éteinte dans sa 62 ème année à l'hôpital d'Epinal. Elle était l'épouse de Noël Labeys et maman de trois enfants : William, Sylvain et Christelle. Plusieurs fois grand-mère, Annette vivait une paisible retraite 167 rue Émile Walter à Autmonzey où elle demeurait auprès de son époux. Malade depuis plusieurs mois, elle se battait avec tout le courage de faire face qu'on lui connaissait. Cela, sans jamais baisser les bras. Ceux qui ont connu Annette se souviennent d'une femme au franc-parler très attachée à tout son petit monde. Le cancer qui la minait aura eu raison de sa farouche volonté de vivre. Les obsèques seront célébrées mardi 18 novembre 08 à 15 h en l'église de Jussarupt. Suivies de la crémation à Epinal. Selon la volonté de la famille, ni fleurs, ni couronnes, ni plaques. Annette repose au funérarium Lapoirie, 8 rue Foch à Granges sur Vologne. Sincères condoléances.

14/11/2008

Lépanges sur Vologne : décès de Henriette Nicolas

Mme Nicolas lépanges.jpgHenriette Nicolas est décédée à l'âge de 82 ans. Née Simon, le 7 juillet 1926 à Damblain, elle était l'aînée de six enfants. Devenue jeune femme, elle avait épousé Marcel Nicolas le 9 avril 1946.
Cinq enfants ont vu le jour au sein du couple : Renée à Trèves Allemagne ; Jeanine à Vittel ; Gilberte décédée en 1983 ; Gisèle qui habite à Fiménil et Denis à Noidans les Vesoul. Très attachée à sa famille, Henriette connut le bonheur de voir la venue au monde 17 petits-enfants puis devint 20 fois trisaïeule. La défunte qui fit des ménages et travailla en usine laisse le souvenir d'une femme dévouée et courageuse. Veuve de Marcel décédé en 1989, elle aimait retrouver tout son petit monde.
Les obsèques d'Henriette Nicolas seront célébrées lundi 17 novembre 08 à 14 h en l'église de Lépanges sur Vologne. Condoléances

13/11/2008

Laval sur Vologne : décès de Marguerite Jacquemin


maman.jpgNée le 10octobre 1910 à Viménil, Marguerite Membré est venue ,à l’âge de 2 ans habiter la commune de Laval sur Vologne, dans une ferme située au centre du village, en compagnie de ses neuf frères et sœurs.
Elle entra dans la vie active à 12 ans comme employée de maison, puis elle fut employée aux papeteries Mougeot jusqu’en 1957.
En 1934 elle épousa Louis Jacquemin, contremaître de fabrication, décédé en 1970
Elle donna naissance un fils,Robert Jacquemin, ancien principal du collège de Bruyères, aujourd’hui retraité. Sa belle- fille fut institutrice à l’école Jules Ferry pendant 30 ans.
Elle se faisait une joie de recevoir périodiquement son petit-fils Claude et son épouse et surtout son arrière-petite-fille habitant à Paris.
En 1990, elle quitta sa maison de Laval pour s’installer à la Résidence à Bruyères où elle retrouva de nombreuses amies.
À la maison de retraite intercommunale depuis mars 2007, elle participait à toutes les activités malgré ses 98 ans. Et, aimait beaucoup jouer au scrabble et cuisiner. Femme de contact, agréable, affable, souriante, elle avait gardé une mémoire étonnante et se plaisait à rappeler un passé émaillé de nombreuses anecdotes. Les obsèques de Marguerite Jacquemin seront célébrées samedi 15 novembre 2008 en l'église de Laval sur Vologne. Suivies de l'inhumation au cimetière de Saint - Nabord. La défunte repose au funérarium Lapoirie 14 rue de l'hôpital à Bruyères.
Sincères condoléances.

Laval sur Vologne : décès de Marguerite Jacquemin

Marguerite Jacquemin, née Membré est décédée à l'age de 98 ans.
Ses obsèques religieuses seront célébrées le samedi 15 novembre 2008 à 14 h 00 en l'église de Laval sur Vologne. Suivies de l'inhumation au cimetière de Saint-Nabord. Mme Jacquemin repose au funérarium Lapoirie 14 rue de l'hôpital à Bruyères. Condoléances

11/11/2008

Bruyères : décès de Gilberte Villaume

1814.jpgGilberte Villaume, née Didier 16 octobre 1930 à Dounoux s'est éteinte à l'age de 78 ans. Sixième d'une fratrie de 8 enfants, elle passa son enfance à Méménil. En février 1955, elle se maria avec Robert Villaume, un jeune homme originaire de Laveline du Houx. Cinq filles naquirent au sein du couple : Martine, épouse Thiriet qui demeure à Les Poulieres ; Chantal, épouse Aubry à Deycimont ; Jocelyne, épouse Fleurence à Montillot ; Sabine, épouse Bertaud à Charmois devant Bruyères et Nadine, épouse George à Charmois devant Bruyères. Gilberte Villaume laisse le souvenir d'une femme courageuse qui travailla beaucoup. Elle était de ces personnes qui n'ont pas peur de l'ouvrage. Elle fit des ménages et fut aussi accompagnatrice de car scolaire. Dévouée, Gilberte était toujours prête à donner un coup de main à la préparation de repas pour de nombreux convives. Elle apporta notamment son concours à la logistique des déplacements en France et en Europe des Majorettes de Biffontaine. Une petite troupe au sein de laquelle elle eut la fierté de voir évoluer trois de ses filles. Onze fois grand-mère, la disparue eut le bonheur de voir naître 5 arrière-petits-enfants. Elle eut aussi le bonheur de célébrer ses noces d'or avec Robert. Un moment précieux, pour le couple entouré de l'affection des siens.
Avec son époux, Gilberte Villaume habita à Fays, à Lépanges sur Vologne, puis 32 ans à Les Poulières, ensuite rue Jean Lurçat Bruyères. Depuis le printemps, elle demeurait à la résidence Avison. Adroite de ses mains, la disparue occupait beaucoup de son temps à de petits travaux manuels. Elle était aussi une excellente cuisinière. Membre du club des bons Lo'his, elle était une camarade appréciée. Gilberte Villaume laisse à ceux qui l'ont connue le souvenir d'une femme très attachée à tout son petit monde et absolument adorable. Ses obsèques seront célébrées mercredi 12 novembre 08 à 14 h 30 Biffontaine. Sincères condoléances.



10/11/2008

Lépanges sur Vologne : Christophe Claude s'en est allé.

christophe claude.jpgL'horrible nouvelle du décès brutal de Christophe Claude est tombée lundi 10 novembre 08 en semant la tristesse et la consternation à Lépanges sur Vologne où il habitait avec sa famille. Mais aussi sur tout le secteur de l'Avison où il comptait beaucoup de connaissances. Christophe s'est éteint à l'hôpital d'Epinal où il avait été admis samedi 8 novembre 08 dans la soirée et cela dans un état des plus inquiétants. Né le 8 avril 1980 à Epinal, Christophe, sixième d'une fratrie de 8 enfants est le fils d'Évelyne et Joël Claude qui demeurent à la Beheue à Bruyères. C'est à Bruyères qu'il réalisa sa scolarité primaire et secondaire. Christophe entra ensuite à l'école de Gérardmer et y débuta un apprentissage en pâtisserie. Il fut alors employé aux restaurants « Les Arcades » et « Fun-Burger » à Bruyères. Changeant de voie professionnelle, il devint routier aux Magasins Généraux. Il fut finalement embauché voici plusieurs années à la papeterie de Laval sur Vologne. Partout, il fut un collègue et un ouvrier apprécié. Christophe Claude se maria le 4 juin 2005 avec Gwennaelle André. Deux enfants ont vu le jour au sein du couple : Iness 2 ans et Enzo, 6 mois.
Christophe laisse le souvenir d'un garçon tranquille et rendant service qui s'adonnait avec bonheur au bricolage. La mécanique, ou encore construire des maquettes de voitures occupaient son temps libre. On se souvient de « Totof » comme d'un jeune homme rieur qui aimait la musique et la chanson. Affectueux et gentil, il cachait au fond de lui, une sensibilité, un mal-être insoupçonné de ses proches aujourd'hui dans la détresse face à un départ précipité. Ceux qui ont connu Christophe Claude lui conserveront une place en leur cœur, et la fierté de d'avoir partagé un bout de chemin avec lui.
Christophe repose au funérarium Lapoirie, 14 rue de l'hôpital à Bruyères. Ses obsèques seront célébrées mercredi 12 novembre 08 à 16 h 30 en l'église de Lépanges sur Vologne. Sincères condoléances.


09/11/2008

Lépanges sur Vologne : décès de Marie-Louise Moulin

Marie-Louise Moulin est décédé à Bruyères dans sa 97 année. Ses obsèques religieuses seront célébrées le mercredi 12 novembre à 10 h en la chapelle de l'hôpital de Bruyères dans l'intimité familiale. Suivies de sa crémation à Epinal. Mme Moulin repose au funérarium Lapoirie, 14 rue de l'hôpital à Bruyères où la famille reçoit de 9 h à 12 h et de 14 h à 19 h. Condoléances

05/11/2008

Champ le duc : décès de Marceau Bonnard

LastScan.jpg Marceau Bonnard est décédé à Epinal le 4 novembre 08 à l'age de 85 ans. Né le 16 mars 1923 à Xertigny, le disparu était issu d'une fratrie de deux garçons. Sa scolarité terminée, il entra rapidement dans le monde du travail. Il fut alors employé à la fromagerie de Xertigny, puis fut embauché chez Collot et au sein de l'entreprise Craco. Célibataire, Marceau Bonnard vécu durant une trentaine d'années auprès de son frère et sa belle-sœur à Saint - Laurent. Son frère, Marc décédé en novembre 1997 et sa belle-sœur également disparue, Marceau Bonnard se rapprocha de Jeannine Nourdin, amie de longue date de la famille. Il vint alors vivre à Champ le Duc en 2001 avec Jeannine pour compagne. Retraité paisible, le défunt laisse le souvenir d'un homme d'une très grande gentillesse. On se souvient qu'il passait son temps libre à cultiver un très beau potager. Des promenades en forêt et la cueillette des champignons l'occupaient agréablement.
Les obsèques seront célébrées jeudi 6 novembre 08 à 14 h 30 en l'église de Champ le Duc. Suivies de l'inhumation au cimetière communal de Champ le Duc. Condoléances.

02/11/2008

Gugnécourt : décès de Raymonde Gougeon

Figure emblématique de Gugnécourt, Raymonde Gougeon s'est éteinte à l'âge de 84 ans à la maison de retraite de Bruyères où elle vivait depuis environ trois ans. Née Pierson en 1924 à Gugnécourt, elle était la fille de Fernand et de Séraphine Pierson et vécu toute sa vie sur le site de la ferme familiale de Beaulieu.
Son enfance fut profondément marquée par la guerre. L'implication de ses parents dans la Résistance provoqua le drame de la mort de son père brûlé vif dans un convoi ferroviaire en déportation vers l'Autriche. Sa mère et sa soeur furent-elles emprisonnées par les Allemands.
Devenue jeune femme, Raymonde épousa Louis Gougeon. Quatre fils virent le jour au sein du couple : Daniel, décédé ; Roger, lui aussi décédé ; Bernard, et Gérard qui demeurent tous les deux à Gugnécourt. Ceux qui ont connu « la mère Gougeon » comme elle se plaisait elle-même à se nommer, se souviennent d'une femme qui consacra toute son existence au rude travail de l'agriculture. Ignorant le repos, elle était de ces personnes qui passent leur temps à la tache, si dure soit-elle. D'un caractère fort « la mère Gougeon » qui ignorait loisirs et vacances. Elle demeurait attachée à ses valeurs politiques et sociales.
Veuve de Louis disparu à 72 ans en 1993, Raymonde Gougeon, ne baissa jamais les bras. Et cela, malgré les drames qui purent traverser sa vie. Si elle quitta sa ferme, ce fut seulement parce qu'usée par le labeur elle ne pouvait plus rester à domicile.
« La mère Gougeon » recevait chez elle seulement qui bon lui plaisait et n'aimait pas le « bla-bla ». Elle ne voulait pas de démonstrations autour d'elle. Il n'empêche, qu'elle manquera à ceux qui l'aimaient bien et savaient son franc - parler. Sa façon d'être cachait aussi une pudeur des sentiments, une retenue de rigueur en une époque difficile à imaginer et pourtant pas si lointaine.
Raymonde Gougeon repose au funérarium Lapoirie 14 rue de l'hôpital à Bruyères. Ses obsèques seront célébrées lundi 3 novembre à 14 h 30 en l'église de Gugnécourt. Selon sa volonté son corps sera ensuite crématisé. Sincères condoléances.