11/07/2013
Champ le Duc : rallye sous le soleil
C'est sous un soleil radieux que l'Association Villages en Fête de Champ-le-Duc a organisé son rallye pédestre dimanche 7 juillet.
Les questions portaient sur la connaissance des trois villages de Champ-le-Duc, Beauménil et Fiménil.
Le pique-nique s'est déroulé dans une ambiance festive et les gagnants ont été récompensés de paniers garnis.
Cette journée restera dans l'esprit de tous comme une journée d'amitié et de découverte.
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09/07/2013
Les Rouges Eaux : du côté de la Cholotte
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26/06/2013
Bruyères : les Ours vont au zoo !
La saison sportive du club de gymnastique de l'amicale des Ours de Fays s'est achevée par une sortie sur les hauts d'Eloyes. Un magnifique panorama était apprécié depuis le site des cuveaux.
La température un peu frisquette n'a pas gâché cette balade très sympa. Comme toujours le guide Fabienne (animatrice sportive apportait sa gentillesse et toute sa bonne humeur ! Prochaine sortie le 3 août au zoo d'Amnéville avec possibilité d'assister à un son et lumière à Nancy.
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20/06/2013
Champ le Duc : Un bon bol d'air des Hauts !
Jamais à court de bonnes idées, l'association La Charlemagne des communes de Beauménil - Champ le Duc - Fiménil organisait dimanche 9 juin une sortie pédestre sur le massif vosgien à plus de 1100 m d'altitude. Partis en bus, une cinquantaine de participants empruntait un circuit de 10 km au milieu des sentiers balisés et des alpages pour atteindre le grand ballon qui culmine à 1426 m.
Le temps s'y prêtant, les randonneurs ont découvert la plaine d'Alsace avec une vue imprenable sur Guebwiller, Ensisheim, Mulhouse, Altkirch, la région du Sundgau et les vallées de Kruth, Fellering, Saint- Amarin et Thann.
09/06/2013
Bruyères : Stan à place Stan...
Croq'arts a bien débuté le mois de juin s'évadant du côté des arts de la ville de Nancy. 8h30 sonnées, départ en bus de Bruyères place Stanislas, après une bonne heure de route arrivée à Nancy où le premier lieu visité fut la Villa Corbin, abritant le musée de l'École de Nancy dédié au mouvement artistique de l'Art nouveau.
Eugène Corbin fut le plus important mécène et collectionneur de l'École de Nancy. Dans sa villa les Vosgiens ont pu voir des oeuvres ou réalisations de Gallé, Majorelle, Guimard Chaplet, Selwersheim, Carabin, Prouvé et bien d'autres. Inutile de dire que la visite de deux heures passa bien vite. De midi à 14 h, quartier libre ce qui a permis de se restaurer, en visitant la galerie St Sebastien.
Dès 14 h 30 rendez-vous était donné place Stanislas (à Nancy cette fois) pour la visite du musée des Beaux Arts, au demeurant bâtiment magnifique ou l'on a admiré avec les explications d'un guide des oeuvres de Perugin, Tintoret, Caravage, Rubens, Delacroix, Monet, Dufy, Picasso, Collot Granville et bien d'autres artistes. Le groupe terminait la découverte de ce superbe musée par les sous-sols où sont visibles les anciennes murailles et fortifications de Nancy. Elles abritent aussi les expositions des oeuvres de Gallé et Daum.
Pour se remettre de toutes ces beautés petit tour de petit train et visite de la vieille ville puis retour vers Bruyères. Cette virée artistique demeurera dans les mémoires. Chacun remercie les organisateurs et responsables de Croq'Arts pour avoir concocté de si belle façon ce déplacement hautement culturel. De quoi démontrer si besoin en était que notre belle Lorraine possède de véritables richesses et que son patrimoine mérite d'être mieux connu !
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04/06/2013
Lorraine : votez pour le Jardin de Berchigranges
Le Jardin de Berchigranges sélectionné pour représenter la Lorraine dans l'émission de Stéphane Bern « Le Jardin Préféré des Français ».
Cette émission a pour but de faire découvrir aux téléspectateurs la France des jardins et de leur permettre d'élire leur « jardin préféré » parmi une sélection de 22 jardins grâce à un vote sur le site internet de WWW.FRANCE2.FR
L’élection se déroulera du 4 juin au 2 juillet. Le classement et la révélation du « Jardin préféré des Français » seront dévoilés lors d'une émission programmée à la rentrée de septembre. Les 22 jardins « ambassadeurs » de leur région respective y seront présentés sous la forme d'un reportage de 4 minutes chacun.
Si vous aimez le jardin, votez et appelez à voter sans modération pour :
« JARDIN DE BERCHIGRANGES »
Partagez avec vos amis et soutenez les jardins, visitez les!
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12/03/2013
La Chapelle devant Bruyères : Chiens et maîtres en balade
Avec le retour du printemps, Guillaume Bretzner, éducateur canin comportementaliste, installé à La Chapelle Devant Bruyères, propose de participer à des promenades canines éducatives. Deux fois par mois, le week-end, chaque propriétaire de chien qui le souhaite peut s’inscrire à une balade dans laquelle son animal pourra s’ébattre joyeusement, et en totale liberté avec ses congénères. Organisées sur des parcours d’environ 6 kms sur sentiers de randonnées, ces sorties permettent d’allier retour à la nature, éducation et sociabilisation de son chien.
Une première promenade s’est déroulée le week-end dernier sur le secteur de Colimont, avec pas moins de 14 chiens et leurs maîtres. L’occasion pour chacun d’explorer un nouveau mode d’éducation canine, sur le terrain, en liberté en bénéficiant des conseils d’un passionné, toujours présent à vos côtés. Afin de pouvoir participer à ces promenades, il vous suffit de prendre contact avec Guillaume BRETZNER par téléphone au 06 17 77 78 40 ou par mail guillaume.bretzner@wanadoo.fr. Les dates et horaires des balades sont consultables sur le site de ce dernier www.bretzner.fr ou sur sa page Facebook.
Le tarif est libre, chacun met ce qu’il veut dans la tirelire, et à l’issue de chaque randonnée, café, thés et gâteaux vous attendent. Maximum 20 chiens par séance. Un mot d’ordre bonne ambiance et bon esprit sont indispensables.
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13/01/2013
Bruyères : du nouveau à l'Office de tourisme
L'Office de tourisme vous informe que son guide animations et manifestations 2013 pour le 1er semestre est paru. Vous pouvez le consulter ou le télécharger en suivant le lien ci-dessous :
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24/09/2012
Cheniménil : Balade à Strasbourg pour les donneur de sang de la Vologne
Tout récemment l’Amicale des donneurs de sang bénévoles du secteur de la Vologne organisait une sortie à bord d’un car de grand tourisme de la société Marcot. Quarante-neuf adultes et deux enfants partaient ainsi à la découverte du cœur de la capitale alsacienne. Le mini-train de Strasbourg offrait la possibilité d'un agréable voyage. Une surprise attendait chacun aux détours de rues. Les ruelles étroites, la petite France, les ponts couverts, le barrage Vauban… étaient abordés avec plaisir.
Le déjeuner servit au restaurant Caveau Gurtlerhoft, place de la cathédrale calait les estomacs affamés de bonnes spécialités locales.
l'après-midi, tous embarquaient sur le « Rouget de Lisle » pour une croisière commentée sur l’Ill. Une grande promenade commençait tout autour de Strasbourg avec découverte de richesses architecturales . Le quartier de la Petite France, le quartier des tanneurs, les ponts couverts, la terrasse panoramique Vauban, et d’impressionnants édifices civils et religieux méritaient le détour. Venait ensuite la découverte du quartier allemand puis du quartier européen avec, notamment, le Parlement, le Conseil de l’Europe et le Palais des Droits de l’Homme.
Sur le chemin du retour, le groupe visitait une cave vinicole à Obernai. Une dégustation de plusieurs crus alsaciens, accompagnés de petits bretzels comblait les papilles. Cette belle journée a ravi tous les participants qu’ils soient donneurs ou anciens donneurs de sang. Le tout dans la bonne humeur et la camaraderie.
Prochaine collecte de sang à Cheniménil, salle des associations, le samedi 20 octobre 2012 de 8 h 30 à 12 heures.
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23/09/2012
Laveline devant Bruyères : escapade au pays des cigognes
Le rendez-vous était enregistré sur les agendas. Jocelyne Chapé, présidente du club local « Laveline-loisirs » organisait dernièrement une sortie en Alsace. Et emmenait son groupe visiter Hunawhir et le merveilleux jardin des papillons.
Une découverte qui fut suivie d'un bon repas à Ribauvillers. Le reste de l'après-midi fut consacré au parc des cigognes. On se souvient que ce très bel échassier fut un oiseau sacré de l'Antiquité. Sur place, le spectacle de loutres cormorans manchots, otaries dans un immense bassin enchanta les Vosgiens. La promenade dans les jardins permit d'apprécier ces animaux dans leur environnement naturel, le tout sous un magnifique soleil automnal.
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15/09/2012
Bruyères : La fontaine Saint Georges, source de fierté !
Côté route de Vervezelle, au pied de l'Avison, un chemin de terre très facile d'accès permet de rejoindre la chapelle de la Roche érigée tout contre la montagne en se servant d'un très vieil abri sous roche. Une statue de la vierge y est fleurie par des mains pieuses.
À quelques pas de là, demeure la fontaine Saint-Georges, source du castrum gallo-romain. La légende assure que cette eau de source possède des vertus quasi miraculeuses pour les maladies des yeux. Jadis très bien aménagée, la fontaine était lieu de promenade.
Depuis des décennies, les Bruyèrois amoureux de leur patrimoine se désolaient du délabrement de la Fontaine Saint-Georges et de la quasi-impossibilité d'y accéder sans risques de tomber le nez parmi les friches d'un terrain détrempé par les eaux perdues.
Les années, les tempêtes, mais surtout le manque d'une véritable restauration ont failli conduire à la disparition de ce site chargé d'histoire. Il en fut très souvent question au cours des vingts dernière années. Les services municipaux de l'époque firent de leur mieux avec les moyens du bord. Mais comme soeur Anne, Saint-Georges ne vit rien venir sinon l'Arlesienne.
Arrivé aux commandes de la ville, le maire de Bruyères, Alain Blangy promit de faire restaurer cet endroit dès que possible. Parole donnée, parole tenue.
« La réception que nous faisons ce jour, est le fruit d’un travail, en amont, de la commission “forêt”. Dès le mois de juillet 2009, la commission “forêt” s’est réunie plusieurs fois pour élaborer une feuille de route des projets de travaux touristiques pour une allant de la période de 2008 à 2014. Nous avons consulté à plusieurs reprises la CCVV de nous suivre dans notre démarche. Pour les financeurs hypothétiques, ce projet n’entrait pas dans le créneau de leur compétence... » Expliquait, l'adjointe Michèle Peltier lors de l'inauguration officielle. L'élue en charge du dossier précisait encore que ce projet passé en conseil municipal et approuvé par ce dernier, la commission recevait le feu vert du maire. Elle pouvait prendre contact avec l’ONF gestionnaire de la forêt communale bruyèroise et désigné maître d’œuvre de ce projet entrant dans le cadre des marchés publics. Administrativement, il s'agit là d'un marché de fournitures et de service en procédure adaptée.
Au départ, trois lots furent définis. Le nettoyage, la mise en œuvre du mobilier en bois et les plantations furent attribués à l’entreprise Dieudonné pour 19 540 € HT. Le second lot fut classé infructueux, car les propositions sont apparues trop élevées par rapport au projet initial. Enfin le troisième lot concernant la conception et la réalisation et pose d’un bassin en grés attribué fut confié à l’entreprise Gérard pour la somme de 6840 € HT.
Finalement, l’ONF relançait la procédure d’appel d’offres pour le lot n° 2. Leque était alors divisé en 2 nouveaux lots. D'une par terrassement, empierrement allait à l’entreprise Tacca pour 16 988,46 € HT. Le sol étant très humide avec de nombreux ruissellements.
L’ONF jugeant qu’il était nécessaire de faire un avenant pour changer une buse une tête de buse, et protection du site avec 12 min 3 s de roches et tout-venant. Enfin, le renforcement des talus fut attribué à l’entreprise Dieudonné qui après un avenant au marché effectuait un enrochement au lieu du tunage initialement prévu pour une somme de 24 736.16 € HT. Le tout financé par la Ville de Bruyères soucieuse de son environnement.
Un tel ouvrage ne se conduit évidemment pas sans précautions. Des cartes postales du début du 20e siècle furent utilisées pour s'inspirer de ce qu'il convenait d'engager pour respecter au mieux l'identité de ce lieu. Nombreuses réunions sur le terrain donnèrent à penser qu'il était également judicieux de relier le parcours de santé à la chapelle de la Roche. Il fut demandé aux entreprises choisies sur les environs proches d'utiliser des matériaux locaux, bois, tout-venant également du secteur.
Présent lors de cette présentation, les agents ONF mettaient encore l'accent sur le travail de plantation effectué. Environ 800 pieds d'essences adaptées ont été placés de façon à remplacer les arbres cassés ou abattus par nécessité. Le site étant exclusivement réservé aux marcheurs motos, quads, véhicules de toute sorte, chevaux et autres sont interdits à la circulation. Les jeunes pousses vont donc maintenant croitre en harmonie paysagère. On s'en rejouit, les responsables régionaux ONF citent cette restauration en exemple. Des déplacements sont même prévus sur place pour s'en inspirer !
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16/08/2012
Bruyères : une balade instructive et rafraichissante
Une sortie découverte de la forêt, programmée par l’Office du tourisme Vallons des Vosges de Bruyères, s’est déroulée dans le massif de l’Avison le mardi 14 août. Pilotée par Yves Bastien, ingénieur des Eaux et Forêts retraité, cette promenade sylvestre, qui a réuni une dizaine de personnes, a été l’occasion d’enrichir les connaissances de chacun sur ce monde à la fois vivant, mais complexe de la forêt.
Au pied du Mirador, sur l'Avison
Au menu la découverte des différentes essences, les arbres remarquables, la gestion multifonctionnelle au regard des trois fonctions essentielles jouées par la forêt, à savoir l’accueil du public, la production et la protection. Un large panorama brossé par un passionné de la forêt avec la complicité d’un soleil généreux. Tous les ingrédients du succès ont été réunis pour le plus grand plaisir des participants.
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14/08/2012
Bruyères : une brochure de l'Office de tourisme bien pratique !
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11/06/2012
Bruyères : le Club Vosgien à la découverte des mille étangs
Pour sa sortie à la journée le Club Vosgien s'est dirigé vers les mille étangs. À chaque détour du chemin un nouvel étang se profilait, en tout les participants en avons découvert une centaine lors de cette belle randonnée.
De ceux qui étaient bien entretenus à ceux qui se transformaient en tourbière, tout le monde a apprécié la diversité des paysages et de la végétation.
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29/05/2012
Lépanges sur Vologne : le taï-chi s'évade sur les Hauts !
Ce lundi de Pentecôte, le club omnisports lépangeois, et en particulier la section taï-chi était de sortie. Tôt le matin, une quinzaine d'adeptes de cet art martial s'était réunie au centre de Lepanges, puis à Bruyères, pour une balade sportive sur les hauteurs du Grand Valtin afin d'atteindre la Chaume de Sérichamp. Voitures garées au parking sur le chemin qui mène vers la Chaume, quelques kilomètres à pied avec un dénivelé de 200 mètres.
Cette montée, ponctuée de quelques arrêts pour y pratiquer l'art martial sous la houlette (et la bienveillance) de Vincent, maître Taï Chi. Le ravitaillement avait pris, en voiture, les raccourcis carrossables, ainsi tout était sur les hauteurs pour le confort des estomacs affamés par l'effort.
Arrivés à la Chaume de Sérichamp vers 13 h, petite séance martiale avant l'apéro un kir bien frais et gouleyant à souhait, préparé par le président, Bruno Ferrazzi puis les différents plats concoctés par nos sportives diplômées en cuisine et pâtisserie. Bruno tient ici à félicite ces dames, et les remercier pour cet excellent partage gustatif dans la détente. Des remerciements vont aussi à Vincent et à tous les bénévoles qui ont rendu cette sortie montagnarde bien agréable en assurant la logistique. Cette belle journée ensoleillée, en un lieu superbe, en pleine nature, et face aux crêtes vosgiennes, a comblé a chacun. Le retour s'est fait vers le village, avec en souvenir une journée très agréable, certes tout le monde était un peu fatigué, mais qu'il faudra de l'avis général renouveler.
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18/05/2012
Fays : une journée sur les Hauts !
Fabienne, animatrice du club de gymnastique de Fays et Denis, son mari ont eu la bonne idée et la gentillesse d'inviter les adhérents à découvrir les sentiers du Haut du Tôt.
Ce fut une journée ensoleillée et un excellent moment partagé avec bonne humeur. La soirée s'est terminée au restaurant La Belle Vallée. De l'avis général, ce fut génial !
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24/12/2011
Visitez les orgues
Au travers le monde, certains orgues sont absolument extraordinaires et en tous les cas méritent d'être connus.
Cliquez sur le lien
12/11/2011
L'automne sur Pointhaie
Voici cinq superbes photos, partagées par un ami de la Girafe.
Cliquez sur un angle de l'album. Pour mieux apprécier ces magnifiques images, regardez en plus grand format en diaporama dans l'album colonne de droite.
19:23 Publié dans Balades, Carte postale, clin d'oeil et d'objectif ! | Imprimer | Facebook |
14/08/2009
Laveline du Houx : le bonheur est dans le pré !
Le paysage de moyenne montagne vaut déjà à lui seul le détour. Pas de heurts, pas de coupures abruptes, les vallons partagent forêts et prairies. On devine des oiseaux dans les taillis. Les chevreuils se cachent parmi les bruyères en fleurs, à l'ombre des essences forestières.
Sur le versant, baignée de soleil, la ferme du Grand Écart attend un nouveau groupe de visiteurs. C'est ainsi depuis le début de l'été.
À la demande de l'office de tourisme de Bruyères, mercredi 11 août 2009 était un jour supplémentaire sur le calendrier des visites et goûter à la ferme. Le 22 juillet 2009, déjà Claude Mathieu conduisait là 76 participants. « Une majorité de touristes issus de plusieurs régions de France ! » constate le président de l'Office bruyèrois.
Presque autant cette fois, avec des habitants de Normandie, du Nord, de Belgique et comme le montrent les plaques minéralogiques, d'autres contrées aussi. Les gens du coin sont là aussi, certains ont déjà eu l'occasion de venir, mais on aime retrouver la ferme Claudon. Un peu comme si le temps n'avait plus la loi, tout semble tranquille. Le soleil est encore haut, Monique s'affaire aux cuisines, Roger a coiffé la casquette du guide. Ghislain et Alexis, les garçons de la maison sont peut être partis aux champs. Les gosses sont impatients d'approcher les animaux.
Ah, là ce sont des petits veaux à peine âgés de quelques jours. De grosses bottes de foin fleurent bon l'herbe sèche. Aujourd'hui, pas de démonstration d'enrubannage, car la récolte ne s'y prête pas. Mais, il y a encore bien des choses à voir ! La soixantaine de vaches vosgiennes et montbéliardes nourries sur prés apporte une belle production laitière. Ben non, ici le lait n'a pas un arrière-goût de lavande, mais de pâtures vosgiennes.
L'installation d'une fromagerie en 1993 permet de transformer une partie du lait en fromage fermier. Roger explique la complexité des quotas. Les adultes hochent la tête de surprise. Pas simple, tout cela.
Les gamins préfèrent aller voir les poules. Une véritable armée d'environ 400 poules pondeuses. Élevées la crête au grand air.
Les oeufs ramassés sur la paille sont vendus à la ferme. Que de changement depuis l'époque de l'ancienne étable entravée et du nouvel espace avec stabulation libre et salle de traite nickel-chrome ! Pas de refus, tout ce petit monde accepte volontiers de croquer un biscuit arrosé d'un verre de sirop de groseilles ou de rosé bien frais, rafraichi dans l'eau du bassin.
Sur un banc, le grand-père explique que les abeilles raffolent de butiner la renouée. Celle-ci fleurit rose foncé et serait du Canada. Dans le ciel, trois buses tournent en rond. « Elles ne sont pas dangereuses pour les poules, elles guettent les souris ! C'est de l'épervier qu'il faut se méfier, car s'il tombe sur une poule, il la bouffe vivante ! » assure l'aïeul fort de son expérience. La pause est terminée, les hôtes du jour reprennent le chemin des prés. « On va aller voir les vaches ! »
Tout au long du sentier, les mûres attirent les convoitises. ( oui, oui, c'est " le " Claude Viriot !)
Miam, c'est qu'elles sont fameuses !
Roger montre la différence, « Les Vosgiennes ont une bande blanche sur dos, et plein de taches sur la tête ! Ce sont de bonnes bêtes... " À l'ouest, le soleil descend doucement.
Ah, mais oui il est presque 17 h 30, déjà ! C'est l'heure de rejoindre la ferme.
La table a été dressée dans le grand hangar où séchait le tabac lorsque le Grand Ecard en produisait. La chambre d'agriculture avait proposé, Monique et Roger avaient bien voulu essayer. L'expérience tentée en relation avec la Seita a été abandonnée partout dans les Vosges, il y a plus d'une décennie. Pas suffisamment concluant pour trop de travail, et beaucoup de difficultés.
À taaaaaaaaable !
On se réjouit d'avance, et on a raison, car les énormes saladiers de salade vosgienne, le fromage maison, la tarte aux fruits font toujours le bonheur des grands et petits appétits aiguisés par deux bonnes heures de marche en pleine nature. Comme dit Roger » Y' a quelque chose dans l'assiette ! « Effectivement, on entend plus que le bruit des couteaux et des fourchettes... Ben oui, c'est cela aussi nos Vosges !
Prochains goûters : mardi 18 août, dimanche 23, mardi 25 et jeudi 27 août 2009 ; dimanche 6 septembre 2009.
Pour réserver, téléphonez au moins un jour avant la date du goûter chez Monique et Roger Claudon au tél. 03.29.66 66.90 ou encore au 03.29.37.65.35. Participation aux frais : adultère 8 € ; enfant de moins de 10 ans 5,50 €.
Remerciements à l'office de tourisme de Bruyères qui a fourni la photo de groupe.
Et pour le plaisir une belle photo printanière envoyée à la girafe par Hervé Claudon. :-)
01/05/2009
Les jardins d'Autrey en 2009
6e Édition « Les Jardins de l’abbaye » d'Autrey
Du 1er avril au 1er novembre 2009
L’abbaye date de 1150, fondée par l’évêque de Metz, le cardinal Étienne de Bar, de retour de croisade, elle fut dédiée à la Vierge Marie. De guerres en révolutions, l’abbaye subit maints avatars. Elle fut au cours des âges, tréfilerie, manufacture, séminaire puis hospice. Aujourd’hui plusieurs époques s’y côtoient : une chapelle à plafond à caissons de la Renaissance. De beaux bâtiments du XVIIIe, un
clocher néogothique de la fin du XIXe. Après une dizaine d’années d’abandon, l’abbaye a été confiée, en 1982, à la communauté catholique des Béatitudes qui a transformé les 4 hectares du Jardin botanique en un remarquable lieu de sérénité. Il se partage en plusieurs lieux, le Clos de la Vierge, le Clos des anges, un Jardin blanc, un Jardin des simples, un Jardin de curé et un Jardin à la française. La création de la pépinière a permis de diversifier et de multiplier le nombre de végétaux, 3500 variétés de plantes y prospèrent : 550 variétés de rosiers anciens, plantes vivaces, plantes de terre de bruyère, arbres, et arbustes.
À découvrir : douze poiriers palissés qui datent de 1704 !
À sentir : Au printemps, les petites feuilles du Nothofagus Antartica, ce pseudo hêtre, qui froissées sentent la cannelle.
Rouge intense, bleus profonds, blancs ou noirs, les jardins de l’Abbaye d’Autrey surprendront par leurs propositions audacieuses ou insolites.
Deux rendez-vous dans les jardins à ne pas manquer en 2009 :
Le 16 et 17 mai : « Plantes en Fête » réunissant, depuis 2005, plus de trente exposants-paysagistes de toute la France et des pays voisins comme l’Allemagne et la Suisse, sur un week-end.
Le 7 juin : « Parlez-moi de la Rose », rendez-vous unique en Lorraine autour d’une maison d’édition, un auteur (séances de dédicaces), un musicien « Musique potagère », le Club de cartophiles de Rambervillers, l’École de Roville aux chênes, un jeune conférencier – élève de l’école du Breuil, un distillateur d’Eau de Rose du Maine-et-Loire ainsi qu’un conteur (sur une journée), et ce afin, de sensibiliser le public à la lecture et d’organiser des rencontres artistiques autour de ce patrimoine botanique que représente la Rose.
Tarifs (visite et jardins) 6 € (plein tarif)
4 € (Tarif réduit)
Gratuit pour les moins de 6 ans
16 € - Passez dans les jardins de l’abbaye quand vous voulez !
( à télécharger sur www.abbayedautrey.com)
Horaires de 14 h à 17 h et de 14 h à 18 h
(le week-end et jours fériés)
Hors saison sur rendez-vous
Pépinière : ouverture toute l’année de 14 h à 17 h, sauf le mardi et le dimanche
Informations pratiques : Les Jardins de l’Abbaye- 88700 Autrey
Frere.symeon@abbayedautrey.com - T. 03 29 65 89 39-www.abbayedautrey.com
13/02/2009
Vosges : " trop " beau !
Les magnifiques images des cascades de Tendon prises par le gel se passent de commentaires.
Dans l'écrin d'un paysage magique, les arabesques de la glace.
Tendon, est une commune au sein d'une longue vallée composée d'un village et d'une soixantaine d'écarts. Située à 19 km à l'est d'Épinal, Tendon occupe la vallée du Scouet, un sous-affluent de la Vologne par le Barba. La forêt y occupe 492 ha. Le Tholy est distant de 8 km par le col de Bonne Fontaine (676 m). Ce village érigé en 1707 par l'évêque de Toul a été confirmé par le pape en 1715, contre l'opposition de l'évêque de Metz qui prétendait être propriétaire du domaine. Tendon faisait partie de la prévôté d'Arches.
Renseignements Wikipédia
Remerciement à Bruno Ferrazzi pour ces très belles photos
28/06/2008
Du coté de Fiménil
De bonnes chaussures, une petite laine pour le cas où, le circuit proposé là conduit du coté de Fiménil et ne présente vraiment aucune difficulté particulière. En suivant le balisage mis en place par le Club -Vosgien le marcheur se devra parcourir de 8 à 9 km sur des sentiers tout à fait praticables par le plus grand nombre de gens, enfants ou adultes.
Au départ du centre du village de Fiménil, prendre vers le Bois de la Haie, puis avancer tranquillement vers Pierre Raimbeau. L'arrivée sur Stéaumont, là où l'eau potable est captée pour bon nombre d'habitants de la communauté de communes de vallée de Vologne donne l'occasion de laisser aller son regard vers l'horizon. De très beaux points de vues sont a admirer. Le paysage peut être parfois un peu coupé par les arbres, mais il permet de profiter d'images sans retouches. Les vallées s'étendent et s'étirent, verdoyantes. Ici, rare est le brouillard. Sur la droite dans le sens de l'avancée le Bois de l'Etang. Tout en fond une rivière coule. La Vologne prisée des pêcheurs à la ligne descend de la montagne pour s'en aller affluer la Moselle.
D'un pas tranquille, le marcheur avancera vers le lieu-dit Surémont. Une clairière, un sous-bois, les grandes digitales rouge violacé, blanches ou violettes les bruyères partagent l'espace avec les brimbelliers sur lesquels il est possible de se régaler des petites baies noires. La promenade est bucolique, les mousses fleurent bon le champignon frais. Un virage et voici la ferme de la Calotte, le temps ne semble pas avoir de prise ici. Un vénérable frêne mériterait bien du titre de remarquable. Au coeur de l'été herbe fatiguée de soleil craque sous le pied. Une averse et ce sont des vapeurs aux senteurs de terre humide qui viennent taquiner les narines. En longeant la forêt communal de Fiménil on se laissera surprendre par le passage d'un chevreuil aussi agile que craintif. Un geai, un écureuil, la forêt s'écarte pour mieux avancer de nouveau. Le chêne, le hêtre, le pin, le sapin y sont généreux. L'ombrage protège de la cagne ou d'un vent qui vient tout juste de se lever. Les plus courageux peuvent envisager de s'éloigner vers la grotte de l'Ermite. Sinon ce sera en traversant le secteur du Champ-François et du Bois de la Haie que se fera le retour vers Fiménil. Au loin des cloches sonnent ce sont très probablement celles de église romane de Champ le Duc. Encore une idée de balade, le secteur n'en manque pas . Et, même ce circuit calculé pour environ deux heures de marche peut très bien se faire dans un sens ou dans l'autre. Histoire pourquoi pas de se régaler des paysages vosgiens sous des angles différents. Mais toujours aussi magiques en toutes saisons.
27/06/2008
Communauté de communes de Vallée de Vologne
Communauté de communes de la Vallée de la Vologne
Pas moins de 18 communes, Beauménil, Bruyères, Champ le Duc, Charmois devant Bruyères, Cheniménil, Deycimont, Docelles, Faucompierre, Fays, Fiménil, Laval sur Vologne, Laveline devant Bruyères, Laveline du Houx, Lépanges sur Vologne, La Neuveville devant Lépanges, Prey, Le Roulier devant Bruyères, Xamontarupt, se regroupaient fin 2002 pour se placer sous la houlette de la Commune de la Vallée de la Vologne. Une alliance de raison au sein d'une entité géographique cohérente, mais également soudée par des intérêts fédérateurs d'amitié solide. En fond de vallée, la Vologne amorce un coude à proximité de Bruyères. La rivière change alors d'allure présentant tantôt ses méandres, tantôt des canaux multiples. Rive droite, des plateaux forestiers se transforment en petits vallons étroits, creusés par les affluents. La rive gauche est plus aérée autour de buttes joliment boisées d'essences forestières variées.
Une position géographique centrale dans le département. Epinal et les pôles vosgiens situés dans un rayon de 30 mn, le territoire intercommunal, se caractérisent par une qualité de vie incontestée. Le cadre architectural et paysager y contribue.
26/06/2008
En son milieu coule une rivère
Communauté de communes vallée de Vologne
En son milieu coule une rivière
Au coeur du triangle formé par les trois pôles d'attraction que sont Epinal, Saint-Dié-des-Vosges et Gérardmer, la communauté de communes de la Vallée de la Vologne s'étire sur 11 607 hectares répartis sur une zone Piémont du massif vosgien, le long de la rivière Vologne. Avec ses deux affluents secondaires principaux, le Neuné et le Barba, la Vologne offre un cadre naturel de rêve. On y pratique avec bonheur la pêche à la mouche.
Les 18 communes, dont Bruyères siège de la CCVV, comptent ensemble près de 11000 habitants. La vallée est desservie par la ligne de chemin de fer reliant Epinal à Saint-Dié. Très marquée par son héritage industriel, la CCVV abrite de belles industries papetières à Laval- sur Vologne et Docelles et des entreprises textiles à Deycimont et Lépanges. Une usine d'équipement automobile est implantée à Bruyères. Le commerce, l'artisanat, l'agriculture et la filière bois sont bien représentés. Une grande part de la population est employée dans le secteur tertiaire administration, services hospitaliers et à la personne. La CCVV possède deux pôles d'attraction : Cheniménil-Docelles et Bruyères. Les stigmates de l'histoire restent profonds. Le devoir de mémoire est respecté de toutes les générations.
Beauménil Charmant petit village rural de moyenne montagne, à dominante agricole, il s'étend au pied du mont de l'Ermite jusque-là rive gauche de la Vologne.
La grotte de l'Ermite, rappelle la légende.
Bruyères Chef lieu de canton, à 479 m d'altitude, Bruyères forte d'environ 3300 habitants peuvent être observée depuis le mirador de l'Avison. La cité tire une part de son originalité par la qualité de ses vieilles pierres de grès rose. L'église, la mairie, le bâtiment de la poste ( ancienne halle aux blés ), l'ancienne synagogue classée monument historique et devenue musée Henri-Mathieu et bien des immeubles de l'avenue du Cameroun en sont dotés.
Les lacs de Pointhaie aménagés pour une sortie familiale disposent d'un joli coin pique-nique, d'une table de ping-pong et de jeux pour les plus petits. Un parcours pédagogique met l'accent sur le monde aquatique. Sur la montagne de l'Helledraye, le sentier " des fourmis " invite à la balade. Un peu plus loin, le mémorial américain rappelle les terribles combats. Une pause souvenir s'impose. La montagne du château cache les ruines du château Merlin. La vie scolaire, sportive, et associative est dense.
Champ le Duc
Charlemagne aimait y venir chasser et s'y reposer raconte la légende. Impossible de manquer ici l'église romane du XI siècle. À deux pas, l'ancien château de Champ fut résidence de l'abbé Sommier fait archevêque par Benoit XIII. La bâtisse date du XVIII siècle.
Charmois devant Bruyères
Entre Aydoilles et Cheniménil, à 13 km d'Epinal et de Bruyères, on y vit paisiblement au rythme des saisons. La forêt y est superbe, des sentiers balisés favorisent la promenade.
Cheniménil
Sur l'axe Epinal Gérardmer, la vie associative et sportive y est dense. Les services proposés en font un village prisé des gens qui ne veulent pas s'éloigner de la ville tout en profitant de la campagne.
Deycimont Très forte connotation agricole pour ce village fort dynamique. Six fermes, un atelier de confection, des artisans et commerçants... Des vestiges font état d'un site très ancien sur lequel des tombes gauloises et des pièces de monnaie datant d'un siècle av. J.-C. ont été retrouvées. Des endroits plus récents attestent de l'utilisation du ruisseau du Faing Vairel pour des tissages, moulins à farine, à huile, féculerie, production électrique... Une maison date de 1678.
Docelles Cité papetière, doit son origine et son développement à la fabrication du papier. Une papeterie importante y est implantée. Confection, scierie, travail du bois, commerces, présence de nombreux artisans... Le village est très marqué par son identité.
Faucompierre La nature y est reine. Niché parmi les châtaigniers et cerisiers sauvages, le village est abrité des vents froids. D'où son surnom de la " petite cote d'azur des Vosges " Des vestiges d'un ancien château existent encore.
Fays
Adossé à la forêt le village doit son nom au hêtre roi en ses forêts. De superbes points de vue sur la vallée de Vologne et Neuné, d'anciennes maisons agréablement retapées, des fleurs, une vie associative solide, Fays possède de nombreux calvaires. Ses linteaux sculptés au fronton des maisons méritent de lever le nez.
Fimenil Le village se caractérise par ses hameaux pointant leurs nez au détour des clairières. Le calme absolu y régne.
Laval sur Vologne
Ruralité, tradition papetière de 150 ans et artisanat s'y cotoyent sans heurt. Beaucoup de dynamisme, de joie de vivre boostent une vie locale vigoureuse et dense.
Laveline devant Bruyères Traversé par le Neuné, Laveline devant Bruyères fut en son temps un des fleurons de la production textile. Sa filature abandonnée laisse place à un vaste site prévu d'être mis à profit pour de nouvelles activités. Ses habitants font, on le remarque, de gros efforts de fleurissement.
Laveline du Houx Les habitants des trois hameaux de Laveline, Houx et Herigoutte vivent en harmonie dans un paysage toujours entretenu par une agriculture de montagne. Il y est possible de visiter une ferme, et de découvrir sa production laitière avec fabrication de fromage et produits du terroir
Lepanges sur Vologne
Très rural le village est marqué par sa tradition textile d'un siècle et demi son tissu agricole est très présent. Le village a évolué au fil du temps pour présenter un aspect agréable à l'oeil. L'activité artisanale, commerciale y est forte. La vie associative et sportive y est solide. Le bénévolat reste une valeur humaine sure. La nature y est belle et généreuse. L'église Sainte Libaire possède une statue classée. De belles balades y sont possibles.
La Neuveville devant Lépanges Née du regroupement de trois communes Le Boulay, Saint- Jean du Marché et la Neuveville devant Lépanges ce village se situe sur le flanc de l' Encerf.
L'église saint Antoine en Vologne, des calvaires, l'oratoire de Saint-Jean Baptiste, le château de Saint-Jean, ruines culminantes...
Prey Petit village rural à dominante agricole, Prey est fier d'être le village natal du médecin militaire Jean-Antoine Villemin, né en 1892 qui démontra la transmissibilité de la tuberculose. La présence au village d'un atelier de fabrication d'instruments à percussion de renommée internationale étonne et séduit.
Le Roulier-devant-Bruyères A vocation agricole, le village offre une grande qualité de vie conviviale et accessible aux principales agglomérations des alentours.
Xamontarupt
Le village est adossé au massif du Fossard. Il se trouve traversé par le ruisseau des cuves où les truites de montagnes recherchent un rayon de soleil à travers l'ombre des forêts. Le paysage y est remarquable. Un houx remarquable est inscrit au livre des records pour sa longévité estimée à 400 ans. Le maquis du Haut du Bois martyrisé lors de la dernière guerre n'est pas oublié.
De l'eau et de la bière
D'anciennes cartes postales visibles à l'intérieur du livre " Bruyères et ses environs " du Bruyèrois Roger Balland prouvent qu'au début du siècle dernier le lac de Pointhaie autorisait le canotage en été. Des aménagements permettaient la location de barques. Une fête du site appelé alors Lac Azur avait lieu tous les ans. Soif ? Après la guerre subsistaient les réputées Brasserie Bexon et limonaderie Baltazar. L'eau utilisée provenait d'une source captée à l'Avison. Sur le même lac, on patinait en hiver. Non loin de là, près du " casse-gueule " de la route de Vervezelle, des notables chaussaient les skis n'utilisant qu'un seul baton. Sur un second cliché, on passe à deux bâtons. Bruyères était alors ville de garnison, un groupe de militaire s'entraine comme des chasseurs alpins
Un peu d'histoire
Impossible d'évoquer Bruyères dont le nom apparaît pour la première fois dans des écrits estimés de l'an 821 sans parler de sa paroisse qui pourrait être aussi ancienne que son château et remonterait au VI après J.C. Cependant, des vestiges archéologiques, dont un oppidum sur l'Avison prouvent que le secteur était habité durant l'occupation romaine.
Toute petite, la cité fut plus tard limitée par ses remparts. Sur le plateau du château, la chapelle Saint-Blaise a marqué l'histoire. C'est là qu'en 1475, le chef de la garnison bourguignonne laissée sur place après les saccages de la ville par Charles le Téméraire venait entendre la messe. Capitaine et officiers y furent faits prisonniers par le sieur Varin Doron. La petite place juste au dessus de l'église porte le nom du laboureur Varin Doron, récompensé du grade de sergent par René II, duc de Lorraine.
La rue du général de Gaulle constituait alors le faubourg. C'est sur cette limite que de la volonté du maire Jean-Baptiste Loye l'église fut reconstruite à neuf en 1844. Imposante bâtisse de grès rose d'ordre composite proche du néo-roman, elle est orientée est-ouest. Son clocher inspiré de celui de l'église de Moyenmoutier atteint 513 mètres. L'abside du choeur est éclairée par une verrière consacrée à Notre Dame de l'Assomption, patronne de la paroisse.
Parmi les quatre autels de l'église, à droite du vestibule celui du Sacré-Coeur. On y lit les noms de 620 soldats français et alliés morts en 14 -18 à Bruyères. Un beau vitrail des frères Ott de Strasbourg figure un prêtre donnant l'extrême onction à un soldat blessé. Avant-guerre, quelques familles protestantes célébraient leur culte dans une salle de la mairie. En 1903, Daniel Osiris fit construire une synagogue à ses frais. Aujourd'hui, un ancien bâtiment Bexon est transformé en mosquée.
Comment cela c'est où Bruyères ???
Bruyères, à parcourir sans modération.
Bruyères, chef-lieu de 31 communes de l'arrondissement d'Epinal, se niche dans un écrin à 479 m d'altitude du coeur des Vosges. 27 km de la préfecture d'Epinal, 26 km de Saint-Dié, 23 km de Gérardmer, 30 km de Remiremont, 20 km de Rambervillers, 80 km de Nancy, 110 km de Strasbourg, capitale Européenne... Bruyères s'offre le luxe d'un environnement naturel que le brouillard ignore le plus souvent. La pêche à la ligne s'y pratique en étangs ou en rivières. À deux pas, la Vologne prisée des as de pêche à la mouche descend des montagnes pour affluer la Moselle. Marquée par son passé historique, Bruyères conjugue ses souvenirs au présent. Jumelée avec Honolulu et Vielsalm, elle est aussi filleule du Cameroun.
D'accès facile par la N 420, la D 423 ou la D 44, petit bourg d'environ 3500 habitants, Bruyères s'offre sans détour. Impossible de ne pas remarquer à l'intersection des rues du Cameroun, Gambetta, Abel Ferry, un rond-point où se dresse " La dame de fer " oeuvre de l'artiste parisien Jean Faucheur. Juste en face, la place Stanislas avec son square et sa fontaine Neptune semble servir de cadre à la montagne Avison. Le massif forestier y dissimule des vestiges gaulois. Il est très facile de rejoindre à pied un mirador construit à 601 mètres d'altitude. Une table d'orientation permet de guider son regard au travers un panorama imprenable à plus de 60 km à la ronde.
Le maître tapissier Jean Lurçat, le peintre Michel Colin, l'ancien ministre Louis Marin, ..., parmi ses enfants, Bruyères compte des personnages célèbres dont elle est fière. Ecoles, collèges, lycées, piscine, parcours de santé, terrains de sport, sur l'Helledraye site pédagogique des fourmis, des étangs, un camping, un syndicat d'initiative, un commerce vivant... Bruyères dont la vie associative est dense possède aussi un musée. Sur une colline proche de l'église, le château Merlin, propriété privée, peut être visité en sollicitant l'autorisation.
Le visiteur prendra le temps de pousser la balade jusqu'au village voisin de Champ le Duc. Il s'y dresse une église romane de toute beauté dont la construction est attribuée à Charlemagne.
La réputation de la tourte à la pomme de terre, spécialité locale pour laquelle on converge de toute la Lotharingie est portée haut par une confrérie. Petit fruit issu des arbrisseaux d'une forêt qui enchante, la myrtille ou " brimbelle" se déguste dans tout ses états. Confitures, tartes, beignets, gâteaux... régalent les palais. Avec son défilé de chars dont celui de la reine, ses groupes folkloriques, la fête des myrtilles attirera son monde.
Du coté de Mortagne
Mortagne par les quatre bouts.
Circuit d'environ 10 km, dénivelé de 100 m, balisage anneaux verts. Accessible en VTT et à la portée du plus grand nombre de marcheurs.
Le déplacement en voiture depuis Bruyères vers Mortagne, petite commune du canton de Brouvelieures ne manque pas d'attraits paysagers. On dépasse de quelques centaines de mètres le refuge SPA du Val des Oiseaux, une route vers Mortagne se présente alors sur la droite. On grimpe avec plaisir au travers un beau massif montagneux bordé de bruyères pour rejoindre le village. Mortagne possède la particularité d'être géographiquement très étendu. Il comporte quatre bouts dits : « du dessus », « du milieu », « du dessous », et « du bout du monde ». On y dénombre une douzaine de calvaires, dont une dizaine seront visibles au cours de la promenade. Le départ du circuit proposé par le Club-Vosgien, de la section Bruyères et environs est donné depuis le « bout du milieu » sur le parking de la mairie près de l'église dédiée à Saint- Mathieu. Un peu d'histoire (notamment accessible au travers un agréable site internet personnel) fort documenté consacré à Mortagne. À l'époque gallo-romaine, Mortagne fait partie du pays des Leuques ( Toul ). L'église a été construite par les habitants de Mortagne en 1840. Elle est achevée en 1843, date d'un tableau visible dans le choeur peint par le Bruyèrois Dolmaire. À deux pas, la mairie et l'école datent de 1842. Les écrits racontent qu'avant 1307, les templiers possédaient une propriété entre Brouvelieures et Fremifontaine. Les templiers sont passés par le bûcher en 1312, ceux de Fremifontaine sont égorgés par les villageois l'année suivante. Il reste quelques vestiges de pierre. Le promeneur quitte le secteur de l'église en longeant le cimetière. Il s'engage vers le « bout du milieu » en laissant un premier calvaire sur sa gauche. Le second est remarquable. On profitera au maximum du calme intemporel des sites naturels ou habités traversés. Avant la sortie de ce bout, s'engager en forêt, il s'y dresse la croix Holveck. Une halte s'impose pour profiter de la dimension de la vue sur le plateau lorrain. Magique. On se dirige ensuite vers la croix des Droites, avant de plonger à gauche vers le bout du dessus. En débouchant sur la route, on remarque un nouveau joli calvaire. C'est ensuite à travers champs, puis bois, surprenant peut-être au passage un fier brocard, ou écureuil curieux que le promeneur salué par un geai s'en aille jusqu'au « bout du monde ». Une petite cote remonte vers le village où se situent encore deux calvaires et un troisième en ruine. Tout au long du circuit dit « des calvaires », il apparait d'anciennes habitations, des fermes souvent devenues résidences secondaires et dont l'architecture typique indique un mode de vie partagé entre le travail forestier et l'agriculture. On remarquera des détails religieux ou païens destinés à la protection des gens et des biens. Ce circuit fort plaisant peut être réalisé dans les deux sens.
24/06/2008
Du coté des lacs de Pointhaie
Surprise du coté de Pointhaie un ginkgo biloba vient d'être planté. Un bonheur pour ceux qui connaissent cet arbre
Le Ginkgo biloba ou « Arbre aux quarante écus » ou « arbre aux mille écus » (银杏 yínxìng en chinois, maidenhair tree en anglais) est la seule espèce actuelle de la famille des Ginkgoaceae. Mieux, il est la seule espèce survivante de la division des Ginkgophyta. On en connaît sept autres espèces maintenant fossiles et le Ginkgo est souvent qualifié de « fossile vivant ». L'espèce est la plus ancienne espèce d'arbre connue puisqu'il serait apparu il y a plus de 270 ma. Il est donc apparu avant les dinosaures et a survécu à tous les bouleversements climatiques de notre planète