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08/01/2017

Fays : les Ours sont entrés dans Paris

Tour-Eiffel-Bleu-blanc-rouge.jpgLes Ours de Fays ont parcouru les rues, boulevards, avenues et jardins de Paris accompagnés de milliers de personnes venues de tous les horizons pour découvrir la capitale française. Ce fut un véritable enchantement et un moment de magie partagé d'aller à la découverte de Paris et de ses illuminations festives.

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Adhérents et non adhérents sont invités à l'assemblée générale de l'Amicale de Fays qui se déroulera le dimanche 22 janvier à 11 h à la maison pour tous du village et suivie du pot de l'amitié.

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Bruyères : René Houot nous a quittés

René (88).JPGLe décès vendredi 6 janvier 2017 de René Houot est appris avec tristesse. Né le 23 avril 1935 à Brouvelieures, René était le fils unique de Mathilde Houot, décédée.

Employé aux Ponts et Chaussées, il fut ensuite embauché aux établissements Baradel, puis à la scierie Renaudin et enfin à la Cipa à Bruyères où il fut cariste durant une vingtaine d'années. Le 19 mars 1966, il épousa Yvonne Grosgeorges, maman d'une fille, Sylviane qu'il prit sous son affectueuse protection. C'est ainsi qu'il devint tout naturellement, un véritable grand-père de quatre petits-enfants auxquels il était très attaché et qu'il considérait comme siens.

Passionné de foot et de pêche, René Houot aimait la nature en général, vosgienne en particulier.

Il laisse à ceux qui l'ont connu le souvenir d'un homme honnête, travailleur et doté d'une véritable gentillesse. Proche des siens, il vivait en communion avec son épouse dont le dévouement jusqu'aux derniers instants n'eut d'égal que l'amour partagé au sein du couple. Discrètement comme il vécut, René Houot s'est éteint paisiblement entouré de chaleur humaine et de soins.

René Houot repose au funérarium Lapoirie à Bruyères. Ses obsèques seront célébrées ce lundi 9 janvier à 14 h en l'église de Bruyères. 

Sincères condoléances à ses proches.

 

Bruyères : les judokas sur les tatamis du challenge Georges Cotin

Les jeunes judokas bruyèrois ont participé dans un bel esprit sportif au premier tour du tournoi Georges Cotin organisé ce week-end à Épinal.

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Déjà tous se préparent avec envie et sérieux pour le prochain tour qui sera organisé le 25 mars à Bruyères.

19:14 Publié dans Tous les sports |  Imprimer |  Facebook |

Bruyères : décès de Monsieur René Houot

Mme Yvonne Houot, son épouse

Mme Sylviane Grosgeorges, sa belle – fille et Alain

David, Arnauld, Johann, Angélique, ses petits enfants ; leurs, conjoints, enfants et petits – enfants

Mmes Andrée Romary et Marcelle Grosgeorges, ses belles – sœurs

Mme Fernand Grosgeorges, son beau -frère et sa belle – sœur

Les familles : Christophe, Grosgeorges, Romary, Houot

Et toute la parenté

Ont la tristesse de vous faire – part du décès de

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                                               M. René Houot

                                              survenu dans sa 82ème année

Ses obsèques seront célébrées le lundi 9 janvier à 14 h, en l'église de Bruyères.

L'offrande tiendra lieu de condoléances et cet avis de faire-part et de remerciements

M. Houot repose au funérarium Lapoirie à Bruyères

La famille remercie tout particulièrement pour leur dévouement : le Dr Diedler, la responsable et les aides – soignantes du SSIAD, les infirmières libérales et le kinésithérapeute.

Bruyères : Jacques Frisonroche, 1er prix au concours « Alès audace » Entrepreneurs.

Après le collège de Bruyères et le lycée Mendès-France à Epinal, Jacques Frisonroche est admis à l’ENSGSI (École nationale supérieure en génie des systèmes et de l’innovation). Il en sort ingénieur et part travailler à Paris pour une filiale de Véolia, dans la conception des stations d’épuration, de 2005 à 2010.

Il décide alors de quitter la capitale pour Alès où il va bientôt créer une entreprise en co-gérance avec un autre ingénieur, diplômé de l’Ecole des Mines de Alès.

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Le 14 décembre dernier, Alès Audace a révélé cette jeune start-up porteuse en lui octroyant le 1er prix de son concours annuel.

SOLENE-R, ainsi dénommée, développe une solution qui récupère l’énergie fatalement produite et perdue par l’industrie. La technique : transformer en chaleur et en froid utiles, grâce à une machine à adsorption, normalement employée dans la climatisation solaire. Le défi : adapter l’engin aux besoins des exploitants. Exemples : études thermiques des bâtiments, optimisation du rendement énergétiques des stations d’épuration.

Des applications ont été développées non seulement sur la France, mais sur le Bénélux. Simple : en Vendée, un agriculteur va à la fois, produire de l’électricité à partir du fumier et la revendre à EDF, et refroidir le lait. Plus ambitieux : selon les calculs de la start-up, uniquement sur l’Hexagone, les industriels pourraient ainsi économiser 1 milliard d’€, à raison de 15% de gain de consommation sur les compresseurs d’air.

Il reste à convaincre les firmes et les particuliers aux nouvelles technologies.