23/06/2009
Champ le Duc : Emilie et Guillaume vont se marier !
Samedi 20 juin 2009, les rues de Bruyères étaient animées par le passage l'après-midi d'une joyeuse équipe de copains et copines. Il s'agissait pour tout ce petit monde de célébrer dignement l'enterrement de vie de garçon et de jeune fille de Guillaume Cunin et d'Émilie Lambert.
Des jeunes gens domiciliés à Champ le Duc et prêts à convoler en justes noces.
Le mariage aura lieu le 27 juin 2009 a 16 h en mairie de Champ le Duc et sera suivi de la cérémonie religieuse à 16 h 30 en l'église de Champ le Duc. Meilleurs voeux.
Laval sur Vologne : décès de Monique Villaumé
Mlle Monique Villaumé, est décédée suite à un malaise survenu à son domicile 1 chemin des Antilleux à Laval sur Vologne où elle résidait avec sa maman, Suzanne. Monique, née le 29.05.59 à Bruyères, était employée au CAT Bois-Joli à Saint Nabord. Elle avait eu la peine de perdre son papa, Maurice Villaumé décédé le 13.06.08. La disparition subite de Monique bouleverse les siens. Sa maman bien sûr, ses soeurs et beaux-frères : Jeanne, épouse Jean-Marie Jacquemin qui habite à Laval sur Vologne ; Nicole, épouse Denis Petitdemange, domiciliée à Biffontaine et Solange, célibataire qui demeure à Bruyères. Tout le monde se souvient de Monique pratiquant la bicyclette en compagnie de nombreux amis. Aimant la nature, elle cueillait les brimbelles et appréciait beaucoup la marche à pied.
Monique repose au funérarium Lapoirie 14 rue de l'hôpital à Bruyères. Ses obsèques seront célébrées le jeudi 25 juin à 10 h 30 en l'église de Laval sur Vologne, suivies de l'inhumation au cimetière communal. Sincères condoléances.
20:04 Publié dans Décès, Souvenir, Remerciements | Imprimer |
Facebook |
Bruyères : la musique allume le feu !
Bruyères répondait samedi 20 juin 2009 en soirée à l'appel de la musique. La veille, le matin et dès le début de l'après-midi, les estrades se mettaient en place avec l'aide des services techniques de la ville. Le soleil n'était pas encore passé derrière la ligne d'horizon que déjà les premières notes se faisaient entendre. La musique municipale de Bruyères donnait alors le la de l'ouverture officielle. Très vite, comme les années précédentes, l'avenue du Cameroun, la rue Joffre et la place Jean-Jaurès devenues pictonnes drainaient une foule de plus en plus importante. Sous le hall de la salle des fêtes, les douces épinettes de l'association Arts-Traditions-Artisanat trouvaient l'endroit idéal pour s'exprimer.
Une excellente mise en cordes pour le prochain festival départemental d'épinettes de fin juillet au pied de l'Avison. La chaleur de la fête compensait rapidement la grande fraîcheur du fond de l'air.
En famille, avec on le remarquait une participation massive des bébés en poussette, en groupe d'amis, ou seuls, les gens prenaient plaisir à entendre les musiciens.
On se faisait plaisir en s'attablant aux terrasses des cafés qui tous avaient joué le jeu de la fête mise en orbite pour la première fois en 1982 par Jacques Lang, alors ministre de la Culture.
Du côté de la Petite Brasserie Stéphane, Hervé et les deux Patrick, le groupe Mad Cow donnait dans le blues et le rock.
Blues aussi du coté du Point-Central. Dans un genre différent et pile-poil dans le thème « Cinquante ans de chanson française », retenu pour cette 28e édition Nicole Amet toujours fidèle à la fête jouait des airs populaires prompts à faire guincher sur le pavé ( mais non pas de Paris ! ) du trottoir de l'avenue du Cameroun.
À mi-parcours, devant le Crédit-Agricole, la fanfare de Grandvillers faisait un véritable tabac. On se régalait réellement de la qualité de la prestation de ce dynamique ensemble de musiciens visiblement heureux de partager un répertoire éclectique et très sympa.
Plus loin, Coutry Valley, les percussions, les garçons du groupe bruyèrois Ben Rain, de musique métal... séduisaient leur public.
On se laissait volontiers porter par les notes pour à qui mieux mieux se lancer dans des chorégraphies, à pousser à bout de souffle les plus résistants.
Beaucoup appréciaient la présence sur la rue d'un marchand de gaufres toutes chaudes et les gosses se léchaient les doigts rendus collants par la barbe à papa.
On regrettera seulement que comme trop souvent certains ne semblent connaître pour seule musique celle du bruit du verre pilé sur le sol. Et trouvent leur bonheur à casser de la bouteille de bière à gogo. Aucun réel débordement ne fut cependant à déplorer. Dommage aussi que les gens qui pratiquent un instrument, chantent, dansent, claquent des talons, jouent de l'accordéon, du peigne, de la petite cuillère, ou autres ne sortent pas sur leurs balcons ou descendent pas spontanément dans la rue. La prochaine fois, croix de bois, croix de fer...
La fête 2009 à vécu. Vive la fête de la musique 2010 et vive l'été !
09:41 Publié dans Actualités | Imprimer |
Facebook |